Les délégués du personnel de l’hôpital d’Uturoa à Raiatea ont manifesté, à leur manière, ce matin devant l’entrée de l’établissement. Derrière une banderole indiquant «Radiologie en danger, service public sacrifié», les délégués du personnel ont informé les usagers des menaces qui pèsent sur le service de radiologie de l’hôpital. En effet, un médecin radiologue, dont le contrat a été renouvelé en mai dernier pour un an, est en poste sur place depuis 18 mois. Mais, bizarrement ce poste de médecin radiologue pour l’hôpital d’Uturoa ne figure plus, depuis la fin du mois d’août 2012, sur la liste des postes à pourvoir. La crainte de ne plus avoir de médecin radiologue dans le service, dès la fin du mois d’avril 2013 motive donc le personnel de l’hôpital.
Apparemment, le service de radiologie n’est toutefois pas menacé de fermeture, mais les personnels s’interrogent sur les actes qui pourront être réalisés dans le service en l’absence d’un médecin radiologue, seul habilité par exemple, à interpréter les radios ou à pratiquer certains actes. Or, jusqu’à présent ces interrogations sont restées sans réponse : qu’adviendra-t-il des personnes à faibles revenus de l’ensemble des Îles sous le vent, qui ne pourront pas aller dans le secteur privé ? Quid de la gestion des urgences ? La manifestation de ce matin avait pour but d’alerter la population de cette anomalie et de tenter d’obtenir de la direction de la santé des réponses claires. Notamment apprendre si le poste est pourvu, par d’autres biais, qui n’auraient pas été présentés ni à la direction de l’hôpital d’Uturoa, ni au personnel inquiet depuis plusieurs semaines. Mais, pour l’instant, ces réponses ne sont pas venues.
Apparemment, le service de radiologie n’est toutefois pas menacé de fermeture, mais les personnels s’interrogent sur les actes qui pourront être réalisés dans le service en l’absence d’un médecin radiologue, seul habilité par exemple, à interpréter les radios ou à pratiquer certains actes. Or, jusqu’à présent ces interrogations sont restées sans réponse : qu’adviendra-t-il des personnes à faibles revenus de l’ensemble des Îles sous le vent, qui ne pourront pas aller dans le secteur privé ? Quid de la gestion des urgences ? La manifestation de ce matin avait pour but d’alerter la population de cette anomalie et de tenter d’obtenir de la direction de la santé des réponses claires. Notamment apprendre si le poste est pourvu, par d’autres biais, qui n’auraient pas été présentés ni à la direction de l’hôpital d’Uturoa, ni au personnel inquiet depuis plusieurs semaines. Mais, pour l’instant, ces réponses ne sont pas venues.
