Le directeur du conservatoire artistique de la Polynésie française, Fabien Dinard, a ouvert, mardi matin à 8h, le stage bi annuel d'initiation aux arts traditionnels polynésiens destiné aux touristes étrangers. Ce regroupement d'une semaine a pour but but d'assurer la promotion de notre culture ainsi qu'une juste transmission de nos valeurs, au mometn où la pratique des arts traditionnels polynésiens connaît, dans le monde, un succès sans précédent.
Ce stage, qui regroupe 18 femmes de nationalités différentes - japonaises, australiennes, américaines, mexicaine - a débuté par un hommage appuyé de Fabien Dinard aux danseuses japonaises, présentes malgré le drâme vécu par leur pays. Les premiers échauffements, qui ont démarré sur les chapeaux de roue, se sont conclus par une première sélection des participantes orchestrée de main de maîtresse par Mamie Louise Kimitete, Vanina Ehu et Mere Foster, toutes trois aux commandes. Après deux heures intensives de 'ori tahiti, les participantes ont pris la direction des ateliers de Ukulele et de percussions traditionnelles.
Il en sera ainsi jusqu'à vendredi après-midi, un grand moment pour ls stagiaires qui devront danser devant un jury composé de spécialistes du monde de la danse et des arts traditionnels. Depuis le lancement de ces stages, il y a deux ans, le CAPF a accueilli plus d'une centaine d'amoureuses de notre culture qui ne sortent pas diplômées du conservatoire, mais qui reçoivent une attestation de stage.
Ce stage, qui regroupe 18 femmes de nationalités différentes - japonaises, australiennes, américaines, mexicaine - a débuté par un hommage appuyé de Fabien Dinard aux danseuses japonaises, présentes malgré le drâme vécu par leur pays. Les premiers échauffements, qui ont démarré sur les chapeaux de roue, se sont conclus par une première sélection des participantes orchestrée de main de maîtresse par Mamie Louise Kimitete, Vanina Ehu et Mere Foster, toutes trois aux commandes. Après deux heures intensives de 'ori tahiti, les participantes ont pris la direction des ateliers de Ukulele et de percussions traditionnelles.
Il en sera ainsi jusqu'à vendredi après-midi, un grand moment pour ls stagiaires qui devront danser devant un jury composé de spécialistes du monde de la danse et des arts traditionnels. Depuis le lancement de ces stages, il y a deux ans, le CAPF a accueilli plus d'une centaine d'amoureuses de notre culture qui ne sortent pas diplômées du conservatoire, mais qui reçoivent une attestation de stage.
