Le pôle social de la commune de Punaauia entreprend actuellement les démarches administratives de régularisation identitaire. Alberto devrait recevoir un passeport tout neuf d'ici quelques temps.
Le pôle social de la commune de Punaauia entreprend actuellement des démarches administratives afin de régulariser la situation d’Albert A.L, ce sans domicile fixe hispanique, qui attend de retourner en Espagne depuis un an et six mois.
Alberto A.L va, peut-être, d’ici quelques semaines pouvoir retourner dans son pays natal après avoir traversé de nombreuses péripéties. Rappelons que l’histoire de cet homme est singulière : arrivé à Tahiti pour, comme il le prétend, investir une demeure située à Mahina qu’il aurait acheté depuis la France, pour s’apercevoir qu’il a été victime d’une arnaque, son séjour va se transformer en cauchemar. C’est, du moins ce qu’il prétend. Quelques jours après, ses moyens de paiements sont bloqués et la validité de son passeport arrive à expiration.
Après avoir vécu quelques semaines dans un grand hôtel de la côte ouest et une petite pension de famille, il est rejeté tout à tour des deux structures pour avoir laissé des factures proches de 500 000 francs. La situation va s’empirer alors qu’il se trouvera quelques jours plus tard, en bordure de plage. Là, des individus le passent à tabac. Il finira par squatter la mairie de Punaauia, d’où sa prise en charge par les services sociaux et le maire.
Après un bref séjour au centre d’accueil du « Bon Samaritain », il finit par être accueilli par un jeune couple de ‘Outumaoro. Entre-temps, le pôle social, via l’ambassade espagnol de Paris, a obtenu des renseignements sur le personnage. L’ambassade, toujours selon le pôle social, serait entrée en contact avec le frère d’Alberto qui aurait confirmé les dires de ces derniers, sur sa fortune, et son nom. D’autre part, des démarches de régularisation identitaire seraient en cours. Il a été aussi demandé à la famille de l’homme, en plus d’apporter les différentes preuves de ses dires, de mandater une provision d’argent pour le règlement des « ardoises » laissées ici et là.
Si l’homme ne fait pas l’unanimité au sein des instances publiques, Josh Bordes-Pothier, du pôle social de la commune de Punaauia a pris le cas d’Alberto en main. Nous en saurons plus d’ici quelques jours. Une question reste en suspend jusqu’à maintenant, pourquoi ses moyens de paiements ont-ils été bloqués, et surtout par qui ?
TP
Alberto A.L va, peut-être, d’ici quelques semaines pouvoir retourner dans son pays natal après avoir traversé de nombreuses péripéties. Rappelons que l’histoire de cet homme est singulière : arrivé à Tahiti pour, comme il le prétend, investir une demeure située à Mahina qu’il aurait acheté depuis la France, pour s’apercevoir qu’il a été victime d’une arnaque, son séjour va se transformer en cauchemar. C’est, du moins ce qu’il prétend. Quelques jours après, ses moyens de paiements sont bloqués et la validité de son passeport arrive à expiration.
Après avoir vécu quelques semaines dans un grand hôtel de la côte ouest et une petite pension de famille, il est rejeté tout à tour des deux structures pour avoir laissé des factures proches de 500 000 francs. La situation va s’empirer alors qu’il se trouvera quelques jours plus tard, en bordure de plage. Là, des individus le passent à tabac. Il finira par squatter la mairie de Punaauia, d’où sa prise en charge par les services sociaux et le maire.
Après un bref séjour au centre d’accueil du « Bon Samaritain », il finit par être accueilli par un jeune couple de ‘Outumaoro. Entre-temps, le pôle social, via l’ambassade espagnol de Paris, a obtenu des renseignements sur le personnage. L’ambassade, toujours selon le pôle social, serait entrée en contact avec le frère d’Alberto qui aurait confirmé les dires de ces derniers, sur sa fortune, et son nom. D’autre part, des démarches de régularisation identitaire seraient en cours. Il a été aussi demandé à la famille de l’homme, en plus d’apporter les différentes preuves de ses dires, de mandater une provision d’argent pour le règlement des « ardoises » laissées ici et là.
Si l’homme ne fait pas l’unanimité au sein des instances publiques, Josh Bordes-Pothier, du pôle social de la commune de Punaauia a pris le cas d’Alberto en main. Nous en saurons plus d’ici quelques jours. Une question reste en suspend jusqu’à maintenant, pourquoi ses moyens de paiements ont-ils été bloqués, et surtout par qui ?
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