L’épicentre de cette secousse sismique a été localisé sur l’île, à 75 kilomètres à l’Est-sud-est de la ville de Kimbé (centre de la côte Sud de l’île), soit 565 kilomètres au Nord-est de la capitale Port-Moresby, à une profondeur de 54 kilomètres.
Aucun dégât, ni blessé n’a été immédiatement signalé.
À la suite de cet événement, le centre régional d’alerte au tsunami pour le Pacifique (Pacific Tsunami Warning Centre, PTWC, basé à Pearl Harbour, Hawaii), dans un bulletin d’information, a estimé que ce séisme n’était pas de nature à générer un tsunami destructeur d’ampleur régionale.
Toutefois, le PTWC ne déroge pas à son habitude en précisant que des séisme de cette magnitude « peuvent générer des tsunamis localisés pouvant se révéler destructeurs le long des côtes situées dans un rayon de cent kilomètres autour de l’épicentre. Les autorités régionales doivent être conscientes de cette possibilité et prendre les mesures appropriées ».
Mercredi 4 août 21010, déjà, dans cette même région, un séisme de magnitude 6,4 a frappé au large de la côte Nord de l’île principale de Papouasie-Nouvelle-Guinée.
Ce séisme s’est produit à 17h15 locales (GMT+10), à environ 120 kilomètres à l’Est-sud-est de la ville papoue de Madang (soit 440 kilomètres au Nord de la capitale Port-Moresby), à une profondeur de 198 kilomètres en-dessous du niveau de la mer.
Quelques heures auparavant, à 4h46 GMT (16h46 locales), entre Fidji et la Nouvelle-Zélande, dans ce qu’il est convenu d’appeler la fosse des Kermadec (du nom des îles riveraines), un autre séisme fort, de magnitude 5,9, frappait à une profondeur de 23 kilomètres en-dessous du niveau de la mer, à plus de treize cent kilomètres au Nord d’Auckland (Nouvelle-Zélande), dans le prolongement de la fosse des Tonga.
Toujours mercredi, à 9h30 locales (GMT+11), c’est non loin de la Nouvelle-Calédonie qu’un autre séisme de magnitude 5,6 a eu lieu, à une profondeur de 64 kilomètres en-dessous du niveau de la mer, non loin des îles Matthew et Hunter (soit environ 515 kilomètres à l’Est de Nouméa), au-dessus de la fosse des Nouvelles-Hébrides.
Dans tous les cas, aucun dégât, ni blessé n’a été immédiatement signalé et aucune alerte au tsunami n’a été lancée.
Forte sismicité sur la Nouvelle-Bretagne
Il y a deux semaines, le 21 juillet, sur l’île papoue de Nouvelle-Bretagne, deux secousses telluriques de magnitudes 6,3 et 5,6 enregistrées respectivement à 5h18 et 6h31 (locales, GMT+10) se sont produites un peu plus d’un jour après une première série de séismes dans la même zone, de magnitudes respectives de 6,9 et 7,3 sur l’échelle ouverte de Richter,
Une nouvelle fois, l’épicentre a été localisé à 70 et 80 kilomètres au Sud-sud-est de la ville de Kimbé.
À la suite de cet événement, le Pacific Tsunami Warning Centre a émis un unique bulletin d’information indiquant qu’aucun tsunami destructeur d’ampleur régionale n’était à redouter.
Aucun dégât, ni blessé n’a été immédiatement signalé.
Ces secousses se sont produites dans la région déjà frappée par deux secousses telluriques intervenues le 18 juillet 2010 à 23h04 et 23h35 (locales, GMT+10), à une profondeur de 35 et 40 kilomètres en-dessous du niveau de la mer, sans pour autant déclencher d’alerte régionale au tsunami.
Plusieurs familles, dont les maisons précaires s’étaient effondrées, ont depuis dû être hébergées dans des logements de fortune.
Le 24 juin 2010, dans la même région, un séisme de magnitude 6,1 frappait également l’île de Nouvelle-Bretagne, là aussi la partie centrale de l’île où se trouvent aussi plusieurs volcans en activité.
Aucun dégât, ni blessé n’avait été immédiatement signalé.
Aucune alerte au tsunami n’avait été déclenchée.
L’île aux volcans
Le 2 juin 2010, dans la même région, un autre séisme important, de magnitude 6,2, frappait la partie occidentale de l’île de Nouvelle-Bretagne.
Dans la même zone, le 21 mars 2010, un puissant séisme de magnitude 6,6 s’est produit dans la province insulaire toute proche de Nouvelle-Irlande.
Le chef-lieu de la Nouvelle-Bretagne, la ville de Rabaul, est notoirement flanquée de deux volcans en activité épisodique, le Vulcain et le Tavurvur.
Le plus important réveil de ces deux cônes, en 1994, avait quasi-totalement enseveli la ville sous une épaisse couche de cendres et de pluies acides.
D’autres regains d’activité avaient eu lieu plus récemment, en mars 2008, en septembre 2008, puis en janvier 2009, avec là aussi à la clé une épaisse couche de cendres volcaniques sur la ville et de forte perturbations au trafic aérien de toute la zone ainsi que des complications respiratoires pour les personnes prédisposées.
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Aucun dégât, ni blessé n’a été immédiatement signalé.
À la suite de cet événement, le centre régional d’alerte au tsunami pour le Pacifique (Pacific Tsunami Warning Centre, PTWC, basé à Pearl Harbour, Hawaii), dans un bulletin d’information, a estimé que ce séisme n’était pas de nature à générer un tsunami destructeur d’ampleur régionale.
Toutefois, le PTWC ne déroge pas à son habitude en précisant que des séisme de cette magnitude « peuvent générer des tsunamis localisés pouvant se révéler destructeurs le long des côtes situées dans un rayon de cent kilomètres autour de l’épicentre. Les autorités régionales doivent être conscientes de cette possibilité et prendre les mesures appropriées ».
Mercredi 4 août 21010, déjà, dans cette même région, un séisme de magnitude 6,4 a frappé au large de la côte Nord de l’île principale de Papouasie-Nouvelle-Guinée.
Ce séisme s’est produit à 17h15 locales (GMT+10), à environ 120 kilomètres à l’Est-sud-est de la ville papoue de Madang (soit 440 kilomètres au Nord de la capitale Port-Moresby), à une profondeur de 198 kilomètres en-dessous du niveau de la mer.
Quelques heures auparavant, à 4h46 GMT (16h46 locales), entre Fidji et la Nouvelle-Zélande, dans ce qu’il est convenu d’appeler la fosse des Kermadec (du nom des îles riveraines), un autre séisme fort, de magnitude 5,9, frappait à une profondeur de 23 kilomètres en-dessous du niveau de la mer, à plus de treize cent kilomètres au Nord d’Auckland (Nouvelle-Zélande), dans le prolongement de la fosse des Tonga.
Toujours mercredi, à 9h30 locales (GMT+11), c’est non loin de la Nouvelle-Calédonie qu’un autre séisme de magnitude 5,6 a eu lieu, à une profondeur de 64 kilomètres en-dessous du niveau de la mer, non loin des îles Matthew et Hunter (soit environ 515 kilomètres à l’Est de Nouméa), au-dessus de la fosse des Nouvelles-Hébrides.
Dans tous les cas, aucun dégât, ni blessé n’a été immédiatement signalé et aucune alerte au tsunami n’a été lancée.
Forte sismicité sur la Nouvelle-Bretagne
Il y a deux semaines, le 21 juillet, sur l’île papoue de Nouvelle-Bretagne, deux secousses telluriques de magnitudes 6,3 et 5,6 enregistrées respectivement à 5h18 et 6h31 (locales, GMT+10) se sont produites un peu plus d’un jour après une première série de séismes dans la même zone, de magnitudes respectives de 6,9 et 7,3 sur l’échelle ouverte de Richter,
Une nouvelle fois, l’épicentre a été localisé à 70 et 80 kilomètres au Sud-sud-est de la ville de Kimbé.
À la suite de cet événement, le Pacific Tsunami Warning Centre a émis un unique bulletin d’information indiquant qu’aucun tsunami destructeur d’ampleur régionale n’était à redouter.
Aucun dégât, ni blessé n’a été immédiatement signalé.
Ces secousses se sont produites dans la région déjà frappée par deux secousses telluriques intervenues le 18 juillet 2010 à 23h04 et 23h35 (locales, GMT+10), à une profondeur de 35 et 40 kilomètres en-dessous du niveau de la mer, sans pour autant déclencher d’alerte régionale au tsunami.
Plusieurs familles, dont les maisons précaires s’étaient effondrées, ont depuis dû être hébergées dans des logements de fortune.
Le 24 juin 2010, dans la même région, un séisme de magnitude 6,1 frappait également l’île de Nouvelle-Bretagne, là aussi la partie centrale de l’île où se trouvent aussi plusieurs volcans en activité.
Aucun dégât, ni blessé n’avait été immédiatement signalé.
Aucune alerte au tsunami n’avait été déclenchée.
L’île aux volcans
Le 2 juin 2010, dans la même région, un autre séisme important, de magnitude 6,2, frappait la partie occidentale de l’île de Nouvelle-Bretagne.
Dans la même zone, le 21 mars 2010, un puissant séisme de magnitude 6,6 s’est produit dans la province insulaire toute proche de Nouvelle-Irlande.
Le chef-lieu de la Nouvelle-Bretagne, la ville de Rabaul, est notoirement flanquée de deux volcans en activité épisodique, le Vulcain et le Tavurvur.
Le plus important réveil de ces deux cônes, en 1994, avait quasi-totalement enseveli la ville sous une épaisse couche de cendres et de pluies acides.
D’autres regains d’activité avaient eu lieu plus récemment, en mars 2008, en septembre 2008, puis en janvier 2009, avec là aussi à la clé une épaisse couche de cendres volcaniques sur la ville et de forte perturbations au trafic aérien de toute la zone ainsi que des complications respiratoires pour les personnes prédisposées.
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