Photo d'archives
PAPEETE, le 13 septembre 2018 - Six centrales syndicales ont déposé ce jeudi soir des préavis de grève dans plusieurs sociétés et administrations du Pays et de l’État. Les rencontres sur la réforme de la retraite n’ont pas abouti avec le président Edouard Fritch. Si aucune solution n’est trouvée, la grève générale sera effective, mercredi à 0 heure, la veille du passage du texte en séance plénière à l’assemblée.
La rencontre entre les six centrales syndicales (CSIP, CSTP-FO, RTP-ARO nō Pōrīnetia, Otahi, O Oe To Oe Rima, la Cosac) et le président du Pays, Edouard Fritch n’ont pas abouti. Du moins, les syndicats n’en pouvaient plus d’attendre la réponse du gouvernement au sujet de leurs revendications concernant la réforme des retraites.
Un préavis de grève générale a donc été déposé ce jeudi soir dans plusieurs sociétés et administrations du Pays et de l’État, ce qui risque de compliquer fortement notre quotidien, si l'appel des syndicalistes est entendu.
Dans le préavis de grève, les syndicalistes mettent en exergue trois points : le retrait du projet de loi concernant la réforme des retraites, la revalorisation du pouvoir d’achat par une augmentation de 2 % des salaires, et l’amélioration des conditions de travail et de sécurité des travailleurs.
Parmi les secteurs qui seront touchés par cette grève générale, on retrouve la manutention portuaire, les fonctionnaires communaux, le secteur primaire, les administrations du Pays et de l’État ou encore l’aéroport.
Si aucun accord n’est trouvé d’ici la semaine prochaine, la grève sera effective à compter du mercredi 19 septembre à 0 heure, pour une durée illimitée, soit un jour avant l’examen du projet de loi en séance plénière à Taraho’i.
Le gouvernement et sa majorité devraient s’exprimer ce vendredi matin à ce sujet, devant la presse.
Selon nos confrères de Tahiti Nui Television, un conseil d’administration extraordinaire de la CPS se réunira ce vendredi également, pour parler de la Protection sociale généralisée.
La rencontre entre les six centrales syndicales (CSIP, CSTP-FO, RTP-ARO nō Pōrīnetia, Otahi, O Oe To Oe Rima, la Cosac) et le président du Pays, Edouard Fritch n’ont pas abouti. Du moins, les syndicats n’en pouvaient plus d’attendre la réponse du gouvernement au sujet de leurs revendications concernant la réforme des retraites.
Un préavis de grève générale a donc été déposé ce jeudi soir dans plusieurs sociétés et administrations du Pays et de l’État, ce qui risque de compliquer fortement notre quotidien, si l'appel des syndicalistes est entendu.
Dans le préavis de grève, les syndicalistes mettent en exergue trois points : le retrait du projet de loi concernant la réforme des retraites, la revalorisation du pouvoir d’achat par une augmentation de 2 % des salaires, et l’amélioration des conditions de travail et de sécurité des travailleurs.
Parmi les secteurs qui seront touchés par cette grève générale, on retrouve la manutention portuaire, les fonctionnaires communaux, le secteur primaire, les administrations du Pays et de l’État ou encore l’aéroport.
Si aucun accord n’est trouvé d’ici la semaine prochaine, la grève sera effective à compter du mercredi 19 septembre à 0 heure, pour une durée illimitée, soit un jour avant l’examen du projet de loi en séance plénière à Taraho’i.
Le gouvernement et sa majorité devraient s’exprimer ce vendredi matin à ce sujet, devant la presse.
Selon nos confrères de Tahiti Nui Television, un conseil d’administration extraordinaire de la CPS se réunira ce vendredi également, pour parler de la Protection sociale généralisée.