Des risques de perturbation sur les liaisons aériennes inter-îles peuvent se produire à compter du jeudi 27 septembre minuit (et non lundi 24 comme annoncé dans un communiqué de Air Tahiti), suite à un préavis de grève, déposé le jeudi 20 septembre par le syndicat des agents autonomes de l’aviation civile. Seuls les agents territoriaux de l’aviation civile sont concernés par ce préavis.
Quatre revendications sont posées : établissement d’un projet de reclassement géographique des personnels actuellement dans les locaux SEAC à Faa’a (Service de l’Etat de l’aviation civile) qui doivent quitter les lieux ; rétablir le partenariat avec le SEAC avec lequel la DAC (direction de l’aviation civile territoriale) a rompu toute relation mettant en porte à faux les cadres intermédiaires de la DAC ; rétablissement des formations obligatoires à Châteauroux permettant l’agrément des pompiers des aérodromes ; révision de l’organigramme en s’assurant de l’adéquation des compétences de l’encadrement supérieur à la mission de la DAC.
Air Tahiti a déjà prévenu par un communiqué de presse que des perturbations dans le programme des vols pouvaient intervenir dès jeudi prochain.
Le vendredi 21 septembre, le syndicat des agents autonomes de l’aviation civile territoriale a eu une réunion avec le directeur de la DAC, Guy Sue, et le ministre des transports interinsulaires Daniel Herlemme qui s’est soldée par un échec. Le syndicat reproche au directeur de la DAC (direction de l’aviation civile) territoriale son immobilisme, notamment en ce qui concerne le déménagement des agents. Depuis le 2 janvier 2012, la convention qui existait précédemment avec la direction de l’aviation civile d’Etat a été dénoncée, désormais les agents de l’aviation civile territoriale ne sont plus mis à disposition de l’Etat, ce qui implique qu’ils doivent quitter les locaux de la SEAC à Faa’a d’ici la fin du mois de décembre 2012. Or, jusqu’ici rien n’aurait été prévu pour reloger le service de la DAC.
Compte tenu de ce mauvais départ des négociations, le risque de perturbations des liaisons aériennes domestiques depuis et vers Faa’a, est grand à partir de jeudi prochain. En effet, les 150 agents de la DAC assurent toutes les missions de sécurité des 43 aérodromes dans les archipels. Si les agents de la DAC sont absents, aucun mouvement aérien n’est possible.
Quatre revendications sont posées : établissement d’un projet de reclassement géographique des personnels actuellement dans les locaux SEAC à Faa’a (Service de l’Etat de l’aviation civile) qui doivent quitter les lieux ; rétablir le partenariat avec le SEAC avec lequel la DAC (direction de l’aviation civile territoriale) a rompu toute relation mettant en porte à faux les cadres intermédiaires de la DAC ; rétablissement des formations obligatoires à Châteauroux permettant l’agrément des pompiers des aérodromes ; révision de l’organigramme en s’assurant de l’adéquation des compétences de l’encadrement supérieur à la mission de la DAC.
Air Tahiti a déjà prévenu par un communiqué de presse que des perturbations dans le programme des vols pouvaient intervenir dès jeudi prochain.
Le vendredi 21 septembre, le syndicat des agents autonomes de l’aviation civile territoriale a eu une réunion avec le directeur de la DAC, Guy Sue, et le ministre des transports interinsulaires Daniel Herlemme qui s’est soldée par un échec. Le syndicat reproche au directeur de la DAC (direction de l’aviation civile) territoriale son immobilisme, notamment en ce qui concerne le déménagement des agents. Depuis le 2 janvier 2012, la convention qui existait précédemment avec la direction de l’aviation civile d’Etat a été dénoncée, désormais les agents de l’aviation civile territoriale ne sont plus mis à disposition de l’Etat, ce qui implique qu’ils doivent quitter les locaux de la SEAC à Faa’a d’ici la fin du mois de décembre 2012. Or, jusqu’ici rien n’aurait été prévu pour reloger le service de la DAC.
Compte tenu de ce mauvais départ des négociations, le risque de perturbations des liaisons aériennes domestiques depuis et vers Faa’a, est grand à partir de jeudi prochain. En effet, les 150 agents de la DAC assurent toutes les missions de sécurité des 43 aérodromes dans les archipels. Si les agents de la DAC sont absents, aucun mouvement aérien n’est possible.
