Sam, dit moi, qu’est-ce qui te plaît dans la course à pied ?
« Le partage ! Oui, ce que l’on partage avec les gens au moment de la course, voir des gens de tous les horizons, de tous pays, c’est génial ! Après, j’aime bien aussi le fait de me lancer un défi personnel, d’arriver à relever le challenge ou le fait de réussir à faire un meilleur chrono quand c’est sur une distance fixe comme un Marathon. »
Samantha n’a pas froid aux yeux et ose se mesurer aux étrangers, elle a commencé la course à pied sur un coup de tête, pour faire le semi-marathon de Moorea. Depuis, elle fait partie d’une association avec qui elle organise ses déplacements à l’étranger.
« J’aime bien le fait de voyager… On fait ça avec une association, on part en famille avec mon mari et les enfants. On découvre de nouvelles villes et de nouvelles ambiances suivant les marathons. À ce jour, j’ai fait 6 marathons à l’étranger, 2 semis et 1 ultratail pour mes 40 ans.«
Si notre athlète pratique à l’étranger, elle est aussi sur la ligne de départ des raid et des courses sur route au fenua.
« Le Raid Painapo est l’un des raid les plus difficiles qui existe ici, mais c’est vraiment un pur bonheur de le faire. Ce qui est pénalisant ici par rapport à quand on court à l’étranger, c’est surtout la chaleur !«
Pour Sam, l’important, c’est vraiment de s’éclater et se faire plaisir. Elle s’entraîne 12 à 14 heures par semaine et c’est en couple qu’ils suivent les programmes.
« Avec mon mari, on est tombé dans la même passion, ensemble et en même temps, ça s’est vraiment sympa ! C’est pratique aussi du coup, car ça demande beaucoup d’entraînement et qu’il y a quand même beaucoup de contraintes. Des contraintes alimentaires et au quotidien… On ne peut pas faire la fête le vendredi soir quand on s’entraîne le samedi matin »
Un petit mot sportif pour la fin ?
« Il ne faut pas hésiter à se bouger ! J’ai l’exemple de Rava, mon esthéticienne qui n’arrivait même pas à courir 20 minutes d’affiler et qui nous a finalement accompagné sur le marathon de Rome en 2016. Faut le faire, il faut y aller, ce n’est qu’une histoire de volonté. Il faut juste avoir envie et s’entraîner, ensuite, on devient accroc et c’est juste génial. »
Suivez l’actualité sportive du Fenua sur www.sportstahiti.com.
« Le partage ! Oui, ce que l’on partage avec les gens au moment de la course, voir des gens de tous les horizons, de tous pays, c’est génial ! Après, j’aime bien aussi le fait de me lancer un défi personnel, d’arriver à relever le challenge ou le fait de réussir à faire un meilleur chrono quand c’est sur une distance fixe comme un Marathon. »
Samantha n’a pas froid aux yeux et ose se mesurer aux étrangers, elle a commencé la course à pied sur un coup de tête, pour faire le semi-marathon de Moorea. Depuis, elle fait partie d’une association avec qui elle organise ses déplacements à l’étranger.
« J’aime bien le fait de voyager… On fait ça avec une association, on part en famille avec mon mari et les enfants. On découvre de nouvelles villes et de nouvelles ambiances suivant les marathons. À ce jour, j’ai fait 6 marathons à l’étranger, 2 semis et 1 ultratail pour mes 40 ans.«
Si notre athlète pratique à l’étranger, elle est aussi sur la ligne de départ des raid et des courses sur route au fenua.
« Le Raid Painapo est l’un des raid les plus difficiles qui existe ici, mais c’est vraiment un pur bonheur de le faire. Ce qui est pénalisant ici par rapport à quand on court à l’étranger, c’est surtout la chaleur !«
Pour Sam, l’important, c’est vraiment de s’éclater et se faire plaisir. Elle s’entraîne 12 à 14 heures par semaine et c’est en couple qu’ils suivent les programmes.
« Avec mon mari, on est tombé dans la même passion, ensemble et en même temps, ça s’est vraiment sympa ! C’est pratique aussi du coup, car ça demande beaucoup d’entraînement et qu’il y a quand même beaucoup de contraintes. Des contraintes alimentaires et au quotidien… On ne peut pas faire la fête le vendredi soir quand on s’entraîne le samedi matin »
Un petit mot sportif pour la fin ?
« Il ne faut pas hésiter à se bouger ! J’ai l’exemple de Rava, mon esthéticienne qui n’arrivait même pas à courir 20 minutes d’affiler et qui nous a finalement accompagné sur le marathon de Rome en 2016. Faut le faire, il faut y aller, ce n’est qu’une histoire de volonté. Il faut juste avoir envie et s’entraîner, ensuite, on devient accroc et c’est juste génial. »
Suivez l’actualité sportive du Fenua sur www.sportstahiti.com.