Taipei, Taïwan | AFP | jeudi 03/10/2019 - Des dizaines de milliers de fans de Pokémon Go ont envahi jeudi un parc du nord de Taïwan pour tenter d'attraper un maximum de créatures de ce jeu mobile utilisant la réalité augmentée.
La Zone de Safari Pokémon Go est ouverte pendant quatre jours dans la ville de Newtouri Taipei et devrait attirer au total un demi-million de personnes.
Ce jeu a fait un carton planétaire à partir de son lancement en 2016, année où "Pokémon Go" fut même la requête la plus populaire à l'échelle mondiale sur le moteur de recherche en ligne de Google.
Le principe du jeu consiste à attraper, grâce à son smartphone, des créatures virtuelles cachées dans le monde réel que l'on voit sur son écran grâce à la technologie de la réalité augmentée.
"Nous pouvons nous évader de la ville et voir les créatures que nous pouvons attraper. C'est un loisir, mais c'est aussi une façon de faire de l'exercice", esplique Chuang Jung-chung, un retraité de 66 ans venu avec son épouse et un autre couple à la chasse aux Pokémons.
Parmi les créatures recherchées, Scarhino, qui ressemble à un scarabée rhinocéros, ou encore Zarbi, qui ressemble à une lettre de l'alphabet avec un oeil.
Pokémon Go a été encensé par certains comme un moyen de pousser les gens à être un peu plus actifs. Kaori Nishijima, elle, n'a pas hésité à faire le voyage de Tokyo dans l'espoir d'attraper les créatures de Taïwan.
"Je joue beaucoup au Japon. Je crois que c'est bon pour la santé (...) car vous pouvez jouer et marcher en même temps", explique à l'AFP celle qui n'a pas hésité, malgré la chaleur, à porter sa cape Pikachu.
L'an passé, le premier Safari annuel Pokémon Go s'était tenu dans un parc de Tainan, dans le Sud, et avait attiré plus d'un demi-million de passionnés en trois jours.
Taïwan est un des pays qui comptent le pourcentage de joueurs le plus élevé au monde, a déclaré Hikaru Ray Adachi, cadre dirigeant de Niantic, développeur du jeu appartenant à une filiale du géant japonais Nintendo.
"Pour Pokémon et Pokémon Go, Taïwan est très important", explique-t-il.
La Zone de Safari Pokémon Go est ouverte pendant quatre jours dans la ville de Newtouri Taipei et devrait attirer au total un demi-million de personnes.
Ce jeu a fait un carton planétaire à partir de son lancement en 2016, année où "Pokémon Go" fut même la requête la plus populaire à l'échelle mondiale sur le moteur de recherche en ligne de Google.
Le principe du jeu consiste à attraper, grâce à son smartphone, des créatures virtuelles cachées dans le monde réel que l'on voit sur son écran grâce à la technologie de la réalité augmentée.
"Nous pouvons nous évader de la ville et voir les créatures que nous pouvons attraper. C'est un loisir, mais c'est aussi une façon de faire de l'exercice", esplique Chuang Jung-chung, un retraité de 66 ans venu avec son épouse et un autre couple à la chasse aux Pokémons.
Parmi les créatures recherchées, Scarhino, qui ressemble à un scarabée rhinocéros, ou encore Zarbi, qui ressemble à une lettre de l'alphabet avec un oeil.
Pokémon Go a été encensé par certains comme un moyen de pousser les gens à être un peu plus actifs. Kaori Nishijima, elle, n'a pas hésité à faire le voyage de Tokyo dans l'espoir d'attraper les créatures de Taïwan.
"Je joue beaucoup au Japon. Je crois que c'est bon pour la santé (...) car vous pouvez jouer et marcher en même temps", explique à l'AFP celle qui n'a pas hésité, malgré la chaleur, à porter sa cape Pikachu.
L'an passé, le premier Safari annuel Pokémon Go s'était tenu dans un parc de Tainan, dans le Sud, et avait attiré plus d'un demi-million de passionnés en trois jours.
Taïwan est un des pays qui comptent le pourcentage de joueurs le plus élevé au monde, a déclaré Hikaru Ray Adachi, cadre dirigeant de Niantic, développeur du jeu appartenant à une filiale du géant japonais Nintendo.
"Pour Pokémon et Pokémon Go, Taïwan est très important", explique-t-il.