Jeffry Salmon et Patrice Jamet visitent les aménagements. Derrière eux, le monument pour l’arrivée de l’Evangile rénové.
PAPEETE, le 10 juillet 2014 - Le ministère du Tourisme vient de terminer plusieurs aménagements à la Pointe Vénus, et prévoit de lancer d’encore plus gros travaux avant 2015. La commune de son côté va mettre en place une surveillance de la baignade et une aire marine protégée.
Les touristes et les locaux qui iront se baigner à la Pointe Vénus constateront quelques améliorations : des lampadaires solaires, de nouvelles tables en bois pour les pique-niques, une rénovation des anciennes tables, deux tables de ping-pong en dur, une table d’échecs… Voilà de quoi donner une nouvelle jeunesse à cette grande plage de Mahina.
D’autres travaux plus discrets ont aussi été réalisés, comme la création d’un chemin en ciment allant du parking à la plage pour permettre un accès aux chaises roulantes, une reconstruction des margelles autour des arbres, une restauration du monument fêtant l’arrivée de l’Evangile, une nouvelle clôture pour le parking… En tout, ce sont 14 millions Fcfp de travaux qui ont été réalisés. Et plus de travaux sont à venir : « on voit que des aménagements sportifs pour les jeunes seraient appréciés, il faudrait réaménager le site pour créer des abris pour la pluie, rénover le fare des artisans, créer une zone piétonne avec des commerces… » explique Jeffry Salmon, ministre du Tourisme. Ça tombe bien, 420 millions de francs sont déjà crédités pour ces travaux, qui n’attendent que la fin des études d’un architecte spécialisé pour commencer, probablement avant la fin de l’année.
La commune va surveiller les baignades
La mairie, qui a effectué un rapprochement stratégique avec le gouvernement, a aussi de grandes ambitions pour cette plage emblématique qui appartient au Territoire. Dès septembre, une unité de 12 pompiers volontaires va être formée pour assurer la surveillance de la baignade de la Pointe Vénus puis de plusieurs autres plages de la commune. En collaboration avec les pêcheurs, une zone de 50 hectares du lagon, dans la continuité de la route d’accès, sera protégée, même si la pêche à la ligne depuis le quai restera autorisée. Enfin sur le motu Ana’ana une zone éducative sera installée avec un atelier bleu (boutures de corail…), un atelier vert (utiliser le ni’au et le fara…) et un atelier tressage. Le but sera de favoriser le transfert des savoirs traditionnels entre les générations dans un cadre idyllique.
Les touristes et les locaux qui iront se baigner à la Pointe Vénus constateront quelques améliorations : des lampadaires solaires, de nouvelles tables en bois pour les pique-niques, une rénovation des anciennes tables, deux tables de ping-pong en dur, une table d’échecs… Voilà de quoi donner une nouvelle jeunesse à cette grande plage de Mahina.
D’autres travaux plus discrets ont aussi été réalisés, comme la création d’un chemin en ciment allant du parking à la plage pour permettre un accès aux chaises roulantes, une reconstruction des margelles autour des arbres, une restauration du monument fêtant l’arrivée de l’Evangile, une nouvelle clôture pour le parking… En tout, ce sont 14 millions Fcfp de travaux qui ont été réalisés. Et plus de travaux sont à venir : « on voit que des aménagements sportifs pour les jeunes seraient appréciés, il faudrait réaménager le site pour créer des abris pour la pluie, rénover le fare des artisans, créer une zone piétonne avec des commerces… » explique Jeffry Salmon, ministre du Tourisme. Ça tombe bien, 420 millions de francs sont déjà crédités pour ces travaux, qui n’attendent que la fin des études d’un architecte spécialisé pour commencer, probablement avant la fin de l’année.
La commune va surveiller les baignades
La mairie, qui a effectué un rapprochement stratégique avec le gouvernement, a aussi de grandes ambitions pour cette plage emblématique qui appartient au Territoire. Dès septembre, une unité de 12 pompiers volontaires va être formée pour assurer la surveillance de la baignade de la Pointe Vénus puis de plusieurs autres plages de la commune. En collaboration avec les pêcheurs, une zone de 50 hectares du lagon, dans la continuité de la route d’accès, sera protégée, même si la pêche à la ligne depuis le quai restera autorisée. Enfin sur le motu Ana’ana une zone éducative sera installée avec un atelier bleu (boutures de corail…), un atelier vert (utiliser le ni’au et le fara…) et un atelier tressage. Le but sera de favoriser le transfert des savoirs traditionnels entre les générations dans un cadre idyllique.