SAX-LES-THERMES (Ariège), 27 août 2012 (AFP) - L'université d'été de la e.éducation Ludovia a ouvert lundi ses portes à Ax-les-Thermes (Ariège) pour une réflexion sur le plaisir dans l'apprentissage et l'enseignement avec les outils numériques, au moment où l'informatique envahit écoles et foyers.
Près de 700 participants - chercheurs, enseignants, industriels... -, dont 75 intervenants, échangeront pendant 4 jours sur le thème "Plaisir et éducation numérique", une prise en compte de l'évolution de l'enseignement à l'aide des techniques de l'information et de la communication (Tic).
Colloque scientifique, conférences, tables rondes, ateliers... permettront aux participants "d'échanger leurs expériences dans les nouvelles formes de pédagogies" qu'implique l'omniprésence du numérique, a expliqué à l'AFP le chef du projet Ludovia, Eric Fourcaud.
"On a passé la période de l'équipement, et les enseignants s'intéressent maintenant à la façon de l'utiliser", a-t-il ajouté. Beaucoup ont "peur" car les élèves ont plus de connaissances qu'eux dans ces domaines. Ce qu'ils doivent faire, c'est "expliquer aux élèves comment cela peut leur servir pour leur formation".
De nombreux thèmes seront traités dont l'impact des outils numériques sur l'apprentissage et l'acquisition des connaissances, l'équipement des établissements en matériels, l'expérimentation de nouveaux usages, les recherches sur une valorisation du métier d'enseignant avec l'utilisation du numérique...
Une session du colloque sera notamment consacrée au thème "Serious Game et jeux en classe: pour se faire plaisir et/ou pour apprendre ?", avec notamment une réflexion sur "les pratiques de création, d'utilisation de simulation et de détournement de jeux sérieux d'enseignants".
Parmi les intervenants figurent Serge Tisseron, psychiatre et psychanalyste spécialisé dans les nouvelles technologies, Jean-Michel Fourgous, député-maire d'Elancourt (.....) et auteur de deux rapports sur l'éducation numérique, ou Jean-Pierre Jessel, directeur adjoint de l'Institut de recherche en informatique de Toulouse (Irit).
Pendant la campagne pour l'élection présidentielle, le futur ministre de l'Education, Vincent Peillon, avait annoncé qu'il y aurait "un grand plan pour l'e-éducation" en cas de victoire de la gauche, en insistant particulièrement sur la formation des enseignants dans ce domaine et les usages pédagogiques des nouvelles technologies.
gcv/sd
Près de 700 participants - chercheurs, enseignants, industriels... -, dont 75 intervenants, échangeront pendant 4 jours sur le thème "Plaisir et éducation numérique", une prise en compte de l'évolution de l'enseignement à l'aide des techniques de l'information et de la communication (Tic).
Colloque scientifique, conférences, tables rondes, ateliers... permettront aux participants "d'échanger leurs expériences dans les nouvelles formes de pédagogies" qu'implique l'omniprésence du numérique, a expliqué à l'AFP le chef du projet Ludovia, Eric Fourcaud.
"On a passé la période de l'équipement, et les enseignants s'intéressent maintenant à la façon de l'utiliser", a-t-il ajouté. Beaucoup ont "peur" car les élèves ont plus de connaissances qu'eux dans ces domaines. Ce qu'ils doivent faire, c'est "expliquer aux élèves comment cela peut leur servir pour leur formation".
De nombreux thèmes seront traités dont l'impact des outils numériques sur l'apprentissage et l'acquisition des connaissances, l'équipement des établissements en matériels, l'expérimentation de nouveaux usages, les recherches sur une valorisation du métier d'enseignant avec l'utilisation du numérique...
Une session du colloque sera notamment consacrée au thème "Serious Game et jeux en classe: pour se faire plaisir et/ou pour apprendre ?", avec notamment une réflexion sur "les pratiques de création, d'utilisation de simulation et de détournement de jeux sérieux d'enseignants".
Parmi les intervenants figurent Serge Tisseron, psychiatre et psychanalyste spécialisé dans les nouvelles technologies, Jean-Michel Fourgous, député-maire d'Elancourt (.....) et auteur de deux rapports sur l'éducation numérique, ou Jean-Pierre Jessel, directeur adjoint de l'Institut de recherche en informatique de Toulouse (Irit).
Pendant la campagne pour l'élection présidentielle, le futur ministre de l'Education, Vincent Peillon, avait annoncé qu'il y aurait "un grand plan pour l'e-éducation" en cas de victoire de la gauche, en insistant particulièrement sur la formation des enseignants dans ce domaine et les usages pédagogiques des nouvelles technologies.
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