Vendredi 02 novembre 2012 le collectif citoyen pour la préservation de la plage publique de Fare à Huahine a tenu sa deuxième réunion d’information sur la plage de Vaito’oti’a. Il s’agissait surtout pour les membres du collectif d’expliquer, plan à l’appui, le projet de construction d’un émissaire qui récoltera les eaux pluviales après qu’elles se seront mélangées aux eaux de voirie pour les rejeter dans le lagon après un transit par un lac artificiel dans lequel on espère qu’elles se seront décantées.
Cet émissaire long d’environ 300 mètres pour une largeur de 3 m et une profondeur de plus d’un mètre, sera construit dans une zone à risques. En effet, la zone est classée hydrologiquement sensible puisque marécageuse, potentiellement inondable puisque située face à la passe et régulièrement affouillée par les houles. C’est aussi une zone archéologique et le futur centre nautique que la commune de Huahine envisage d’aménager sur les parcelles situées en bord de mer.
Le service de l’équipement à l’origine du projet sur demande de la commune, prétend que l’émissaire résoudra les problèmes récurrents d’inondations des propriétés avoisinantes. Pourtant, malgré les 60.000.000 FCP qui seront dépensés pour cette opération, le bassin versant qui s’étend sur quelques centaines d’hectares du côté montagne continuera d’être inondé puisque l’étude d’impact déposée à la mairie de Fare pour consultation populaire ne fait nullement mention de cette situation.
Le collectif, après avoir sillonné le bassin versant dans son ensemble avec un agent de la commune de Huahine propose que le projet d’assainissement commencé par l’ancienne équipe municipale et abandonné par l’actuelle, soit terminé avec quelques aménagements supplémentaires. Le principe étant d’évacuer les eaux pluviales descendant de Mou’a Tara Ari’i par un caniveau creusé le long de la montagne et se déversant dans la rivière Vaiparaoa à l’extrémité de la ville de Fare.
Toutes les remarques liées à l’étude d’impact et aux solutions alternatives d’assainissement respectueuses de l’environnement et de la qualité de la vie des habitants de Huahine sont consignées dans un document que les membres du collectif présentent aux citoyens de l’île pour signature. Ce document sera joint au cahier de doléances de l’étude d’impact à la fin du temps réglementaire de la consultation populaire.
Parallèlement une pétition est lancée via internet (http://www.activism.com/fr_FR/petition/arretons-le-saccage-de-la-plage-publique-de-fare-huahine/39552://www.activism.com/fr_FR/petition/arretons-le-saccage-de-la-plage-publique-de-fare-huahine/39552 ) ouverte à la signature de tous ceux qui veulent bien apporter leur soutien à l’action menée par le collectif de Huahine.
Cet émissaire long d’environ 300 mètres pour une largeur de 3 m et une profondeur de plus d’un mètre, sera construit dans une zone à risques. En effet, la zone est classée hydrologiquement sensible puisque marécageuse, potentiellement inondable puisque située face à la passe et régulièrement affouillée par les houles. C’est aussi une zone archéologique et le futur centre nautique que la commune de Huahine envisage d’aménager sur les parcelles situées en bord de mer.
Le service de l’équipement à l’origine du projet sur demande de la commune, prétend que l’émissaire résoudra les problèmes récurrents d’inondations des propriétés avoisinantes. Pourtant, malgré les 60.000.000 FCP qui seront dépensés pour cette opération, le bassin versant qui s’étend sur quelques centaines d’hectares du côté montagne continuera d’être inondé puisque l’étude d’impact déposée à la mairie de Fare pour consultation populaire ne fait nullement mention de cette situation.
Le collectif, après avoir sillonné le bassin versant dans son ensemble avec un agent de la commune de Huahine propose que le projet d’assainissement commencé par l’ancienne équipe municipale et abandonné par l’actuelle, soit terminé avec quelques aménagements supplémentaires. Le principe étant d’évacuer les eaux pluviales descendant de Mou’a Tara Ari’i par un caniveau creusé le long de la montagne et se déversant dans la rivière Vaiparaoa à l’extrémité de la ville de Fare.
Toutes les remarques liées à l’étude d’impact et aux solutions alternatives d’assainissement respectueuses de l’environnement et de la qualité de la vie des habitants de Huahine sont consignées dans un document que les membres du collectif présentent aux citoyens de l’île pour signature. Ce document sera joint au cahier de doléances de l’étude d’impact à la fin du temps réglementaire de la consultation populaire.
Parallèlement une pétition est lancée via internet (http://www.activism.com/fr_FR/petition/arretons-le-saccage-de-la-plage-publique-de-fare-huahine/39552://www.activism.com/fr_FR/petition/arretons-le-saccage-de-la-plage-publique-de-fare-huahine/39552 ) ouverte à la signature de tous ceux qui veulent bien apporter leur soutien à l’action menée par le collectif de Huahine.
