Nanterre, France | AFP | lundi 02/07/2017 - Les photos volées de Kate Middleton, seins nus sous le soleil de Provence, avaient indigné la famille royale et jusqu'aux tabloïds britanniques: le magazine people Closer, qui les avait publiées en 2012, connaîtra mardi son jugement.
Lors de l'audience, début mai, devant le tribunal correctionnel de Nanterre, Kate Middleton et son époux William, deuxième dans l'ordre de succession à la couronne britannique, avaient réclamé par la voix de leur avocat 1,5 million d'euros de dommages et intérêts, "choqués" par la diffusion de ces clichés.
Dans une lettre lue par Me Jean Veil, le prince William avait dénoncé des faits "particulièrement douloureux car ils nous rappellent le harcèlement à l'origine du décès de ma mère, Diana", morte à Paris en 1997 après une course-poursuite avec des paparazzis.
Le procureur avait pour sa part requis des amendes "très significatives" contre deux représentants de Closer - Laurence Pieau, directrice de la rédaction, et Ernesto Mauri, directeur de publication - et contre deux photographes d'une agence parisienne soupçonnés d'avoir pris ces photos.
Tous étaient jugés pour atteinte à l'intimité de la vie privée ou complicité.
Les images publiées le 14 septembre 2012 dans Closer montraient Kate et William au bord de la piscine d'un luxueux domaine du Luberon. La duchesse n'y porte qu'un bas de maillot de bain.
Le couple avait obtenu rapidement de la justice civile française l'interdiction de la cession et de toute nouvelle diffusion des photos litigieuses et avait porté plainte.
Une semaine avant Closer, le quotidien régional La Provence avait publié un cliché de la duchesse en maillot de bain, au même endroit.
Pour cette image, l'accusation a requis des amendes avec sursis contre Marc Auburtin, alors directeur de publication du quotidien régional, et Valérie Suau, la photographe. Et le couple princier a demandé 50.000 euros de dommages et intérêts.
Lors de l'audience, début mai, devant le tribunal correctionnel de Nanterre, Kate Middleton et son époux William, deuxième dans l'ordre de succession à la couronne britannique, avaient réclamé par la voix de leur avocat 1,5 million d'euros de dommages et intérêts, "choqués" par la diffusion de ces clichés.
Dans une lettre lue par Me Jean Veil, le prince William avait dénoncé des faits "particulièrement douloureux car ils nous rappellent le harcèlement à l'origine du décès de ma mère, Diana", morte à Paris en 1997 après une course-poursuite avec des paparazzis.
Le procureur avait pour sa part requis des amendes "très significatives" contre deux représentants de Closer - Laurence Pieau, directrice de la rédaction, et Ernesto Mauri, directeur de publication - et contre deux photographes d'une agence parisienne soupçonnés d'avoir pris ces photos.
Tous étaient jugés pour atteinte à l'intimité de la vie privée ou complicité.
Les images publiées le 14 septembre 2012 dans Closer montraient Kate et William au bord de la piscine d'un luxueux domaine du Luberon. La duchesse n'y porte qu'un bas de maillot de bain.
Le couple avait obtenu rapidement de la justice civile française l'interdiction de la cession et de toute nouvelle diffusion des photos litigieuses et avait porté plainte.
Une semaine avant Closer, le quotidien régional La Provence avait publié un cliché de la duchesse en maillot de bain, au même endroit.
Pour cette image, l'accusation a requis des amendes avec sursis contre Marc Auburtin, alors directeur de publication du quotidien régional, et Valérie Suau, la photographe. Et le couple princier a demandé 50.000 euros de dommages et intérêts.