Paris, France | AFP | mercredi 26/04/2017 - Florian Philippot, vice-président du FN, a affirmé mercredi avoir "bon espoir" que le FN obtienne le "soutien" de Nicolas Dupont-Aignan, 4,7% au premier tour de la présidentielle, un "ami en politique" avec qui le FN "partage tout".
"J'ai un bon espoir, j'appellerais pas ça un ralliement, mais un soutien", a affirmé M. Philippot lors de "L'épreuve de vérité" (Public Sénat-AFP-Les Echos-Radio Classique).
"Il y a toujours des discussions, il faut toujours discuter avec ses amis en politique, Nicolas Dupont-Aignan fait partie de nos amis", a-t-il poursuivi.
Nicolas Dupont-Aignan "a fait un bon score, beaucoup plus qu'attendu, il a un projet qui vous le savez est à 95% identique, souverainiste, de régulation de l'immigration, de refus de la casse sociale", a-t-il ajouté.
Est-ce que le soutien se fera en échange de circonscriptions ou d'une aide au remboursement des frais de campagne du candidat "Debout la France" ? Pour M. Philippot, le député de l'Essonne est "suffisamment un homme de conviction pour prendre des décisions d'abord de conviction".
"Après, si on peut aller encore plus loin aux législatives pour faire des accords électoraux, parce que de toute façon on partage tout, j'en serais encore plus heureux. Ca fait longtemps que je l'appelle, cette alliance patriote, de mes voeux, y compris aux législatives", a ajouté le bras droit de Marine Le Pen.
"On a vocation à travailler ensemble. J'ai écouté attentivement son discours dimanche soir, j'ai trouvé qu'il avait laissé la porte grande ouverte, je m'en réjouis", a aussi déclaré Florian Philippot lors de l'émission "Questions d'info" LCP-franceinfo-Le Monde-AFP.
"Je crois qu'il fera un choix clair, il l'a annoncé. Et ses électeurs aussi, ses électeurs sont patriotes, ils veulent réguler l'immigration, ils veulent la souveraineté nationale, ils ne veulent pas du projet de Macron qui est l'inverse, qui est la dérégulation totale", a-t-il ajouté
Florian Philippot a par ailleurs pris soin de prendre ses distances avec la Manif pour tous, qui a lancé mercredi une campagne "Macron c'est non" sur les réseaux sociaux, sans pour autant donner expressément de consigne de vote en faveur de Marine Le Pen.
"Ils ne nous ont pas rejoints. Ils ont annoncé qu'il fallait battre Macron. Voilà. Ils ont dit +c'est un candidat anti-famille+, ils ont quand même raison pour le coup", a-t-il déclaré.
"J'ai un bon espoir, j'appellerais pas ça un ralliement, mais un soutien", a affirmé M. Philippot lors de "L'épreuve de vérité" (Public Sénat-AFP-Les Echos-Radio Classique).
"Il y a toujours des discussions, il faut toujours discuter avec ses amis en politique, Nicolas Dupont-Aignan fait partie de nos amis", a-t-il poursuivi.
Nicolas Dupont-Aignan "a fait un bon score, beaucoup plus qu'attendu, il a un projet qui vous le savez est à 95% identique, souverainiste, de régulation de l'immigration, de refus de la casse sociale", a-t-il ajouté.
Est-ce que le soutien se fera en échange de circonscriptions ou d'une aide au remboursement des frais de campagne du candidat "Debout la France" ? Pour M. Philippot, le député de l'Essonne est "suffisamment un homme de conviction pour prendre des décisions d'abord de conviction".
"Après, si on peut aller encore plus loin aux législatives pour faire des accords électoraux, parce que de toute façon on partage tout, j'en serais encore plus heureux. Ca fait longtemps que je l'appelle, cette alliance patriote, de mes voeux, y compris aux législatives", a ajouté le bras droit de Marine Le Pen.
"On a vocation à travailler ensemble. J'ai écouté attentivement son discours dimanche soir, j'ai trouvé qu'il avait laissé la porte grande ouverte, je m'en réjouis", a aussi déclaré Florian Philippot lors de l'émission "Questions d'info" LCP-franceinfo-Le Monde-AFP.
"Je crois qu'il fera un choix clair, il l'a annoncé. Et ses électeurs aussi, ses électeurs sont patriotes, ils veulent réguler l'immigration, ils veulent la souveraineté nationale, ils ne veulent pas du projet de Macron qui est l'inverse, qui est la dérégulation totale", a-t-il ajouté
Florian Philippot a par ailleurs pris soin de prendre ses distances avec la Manif pour tous, qui a lancé mercredi une campagne "Macron c'est non" sur les réseaux sociaux, sans pour autant donner expressément de consigne de vote en faveur de Marine Le Pen.
"Ils ne nous ont pas rejoints. Ils ont annoncé qu'il fallait battre Macron. Voilà. Ils ont dit +c'est un candidat anti-famille+, ils ont quand même raison pour le coup", a-t-il déclaré.