MAHINA, le 15/02/2016 - Le président du parti Ia Tura o Mahina, Patrice Jamet, a annoncé ce matin son soutien à Édouard Fritch. Il apprécie la nouvelle gouvernance que prône le président du Pays : un travail qui rejoint ses convictions. Pour le leader de Ia Tura o Mahina, Édouard Fritch incarne le changement dont la Polynésie a besoin.
Après plusieurs mois de silence, Patrice Jamet revient sur le devant de la scène. Avec son parti Ia Tura o Mahina (ITOM), il fait part de son soutien à Edouard Fritch. L'annonce a été faite ce matin lors d'une conférence de presse, sous le fare pote'e de la pointe Vénus. L'occasion pour l'ancien maire de Mahina de revenir sur les actions réalisées par le président du Pays, mais surtout pour féliciter le combat que celui-ci mène pour "l'intérêt général".
Pour le président d'ITOM, les idéologies que défend Édouard Fritch rejoignent les objectifs de son parti. "Au niveau de ses déclarations, il y en a une qui m'a beaucoup touché : "Je ne vis pas de corruptions." Il faut se battre contre cela et il faut avoir le courage de dire de tels propos", a-t-il déclaré. "Cela veut dire que derrière, il y en a beaucoup qui vivent de corruption et je me suis toujours battu pour cela, c'est la raison pour laquelle je le soutiens à fond."
Invitée à cette conférence de presse, Nicole Sanquer, tête de liste de Mahina ia Ora lors des dernières municipales se dit satisfaite de cette initiative. Pour elle, Édouard Fritch est une personne "qui a une grande écoute et notamment envers les maires et c'est ce qui le différencie de la précédente gouvernance".
L'ancien maire de Mahina tire un bilan positif des actions du gouvernement. "Cela fait à peine un an et quatre mois qu'il est à la tête du Pays et on voit que ça avance dans le bon sens, les gens réagissent bien." Pour lui, Édouard Fritch est un exemple à suivre et il "incarne ce dont la Polynésie a besoin pour avancer". Un soutien qui est annoncé à quelques jours de la création du parti politique d'Édouard Fritch prévu pour ce samedi à la salle Aorai Tini Hau.
Après plusieurs mois de silence, Patrice Jamet revient sur le devant de la scène. Avec son parti Ia Tura o Mahina (ITOM), il fait part de son soutien à Edouard Fritch. L'annonce a été faite ce matin lors d'une conférence de presse, sous le fare pote'e de la pointe Vénus. L'occasion pour l'ancien maire de Mahina de revenir sur les actions réalisées par le président du Pays, mais surtout pour féliciter le combat que celui-ci mène pour "l'intérêt général".
Pour le président d'ITOM, les idéologies que défend Édouard Fritch rejoignent les objectifs de son parti. "Au niveau de ses déclarations, il y en a une qui m'a beaucoup touché : "Je ne vis pas de corruptions." Il faut se battre contre cela et il faut avoir le courage de dire de tels propos", a-t-il déclaré. "Cela veut dire que derrière, il y en a beaucoup qui vivent de corruption et je me suis toujours battu pour cela, c'est la raison pour laquelle je le soutiens à fond."
Invitée à cette conférence de presse, Nicole Sanquer, tête de liste de Mahina ia Ora lors des dernières municipales se dit satisfaite de cette initiative. Pour elle, Édouard Fritch est une personne "qui a une grande écoute et notamment envers les maires et c'est ce qui le différencie de la précédente gouvernance".
L'ancien maire de Mahina tire un bilan positif des actions du gouvernement. "Cela fait à peine un an et quatre mois qu'il est à la tête du Pays et on voit que ça avance dans le bon sens, les gens réagissent bien." Pour lui, Édouard Fritch est un exemple à suivre et il "incarne ce dont la Polynésie a besoin pour avancer". Un soutien qui est annoncé à quelques jours de la création du parti politique d'Édouard Fritch prévu pour ce samedi à la salle Aorai Tini Hau.
Patrice Jamet
Président de Ia Tura o Mahina
"Je crois beaucoup en cette personne"
En 2011, quand vous aviez mis en place votre parti politique, vous prôniez une nouvelle gérance dans les affaires de la commune de Mahina. C'est ce que vous retrouvez aujourd'hui en Édouard Fritch ?
"Tout à fait, quand je l'entends parler ou faire des discours, je me joins à lui. Je vois en lui cette capacité à créer le changement. En plus, il vient du Tahoera'a, qui est un groupe imposant en Polynésie et il a réussi à créer cette nouvelle gouvernance à l'intérieur du Tahoera'a Huira'atira, un bon parti politique, mais le souci se situe au niveau du leader et tout ce qui s'ensuit. Donc Édouard Fritch a réussi à incarner ce changement. Et je crois beaucoup
en cette personne."
Quand vous parlez de nouvelle gouvernance, qu'est-ce que vous entendez par là ?
"Dans les déclarations qu'il a faites, quand il parle de transparence et de corruption, il faut avoir du cran et du courage, pour dénoncer tout cela. Et je lui ai déjà dit d'être courageux et par-dessus tout je sais que cet homme a la foi en Dieu et c'est cela qui va le soutenir. Il prend comme bouclier sa
foi pour le protéger et ce n'est pas évident pour Édouard Fritch de créer cette gouvernance lors du renouvellement des membres de l'assemblée en 2018."
Édouard Fritch qui vient aussi de Mahina, est-ce que c'est ce qui motive votre décision ?
"i[Les relations familiales ne rentrent pas dans notre décision, je vais au-delà. Il fait des déclarations de valeur et je reste sur cela. Et s'il est de Mahina et bien tant mieux pour la commune, cela prouve que nous avons des gens intègres au sein du gouvernement. Mais ce n'est pas pour cela qu'on le soutient loin de là, et ce n'est pas non plus à cause de Gougou [Frédéric Fritch, NDLR] qu'on le soutient, non. Mais à cause de ses déclarations et sa façon à gouverner le Pays et ITOM sera toujours là.]i"
Donc en 2018, vous appelez la population à soutenir Édouard Fritch ?
"On a encore deux ans devant nous avant de parler de cela."
Les prochaines municipales se tiendront en 2020, est-ce que Patrice Jamet se présentera ?
"J'ai toujours dit que si la nouvelle équipe avec le nouveau tavana réussit à mettre en place tous les projets pour le bien de la population, pourquoi reviendrais-je ? Cela fait à peine six mois que Damas est à la tête de la commune et je vois qu'il y a des projets qui vont se mettre en place. C'est vrai qu'entre les élus il y a toujours des pe'ape'a, dans quel conseil municipal il n'y a pas de tiraillements ? L'essentiel est de faire aboutir les projets et l'intérêt général."
Président de Ia Tura o Mahina
"Je crois beaucoup en cette personne"
En 2011, quand vous aviez mis en place votre parti politique, vous prôniez une nouvelle gérance dans les affaires de la commune de Mahina. C'est ce que vous retrouvez aujourd'hui en Édouard Fritch ?
"Tout à fait, quand je l'entends parler ou faire des discours, je me joins à lui. Je vois en lui cette capacité à créer le changement. En plus, il vient du Tahoera'a, qui est un groupe imposant en Polynésie et il a réussi à créer cette nouvelle gouvernance à l'intérieur du Tahoera'a Huira'atira, un bon parti politique, mais le souci se situe au niveau du leader et tout ce qui s'ensuit. Donc Édouard Fritch a réussi à incarner ce changement. Et je crois beaucoup
en cette personne."
Quand vous parlez de nouvelle gouvernance, qu'est-ce que vous entendez par là ?
"Dans les déclarations qu'il a faites, quand il parle de transparence et de corruption, il faut avoir du cran et du courage, pour dénoncer tout cela. Et je lui ai déjà dit d'être courageux et par-dessus tout je sais que cet homme a la foi en Dieu et c'est cela qui va le soutenir. Il prend comme bouclier sa
foi pour le protéger et ce n'est pas évident pour Édouard Fritch de créer cette gouvernance lors du renouvellement des membres de l'assemblée en 2018."
Édouard Fritch qui vient aussi de Mahina, est-ce que c'est ce qui motive votre décision ?
"i[Les relations familiales ne rentrent pas dans notre décision, je vais au-delà. Il fait des déclarations de valeur et je reste sur cela. Et s'il est de Mahina et bien tant mieux pour la commune, cela prouve que nous avons des gens intègres au sein du gouvernement. Mais ce n'est pas pour cela qu'on le soutient loin de là, et ce n'est pas non plus à cause de Gougou [Frédéric Fritch, NDLR] qu'on le soutient, non. Mais à cause de ses déclarations et sa façon à gouverner le Pays et ITOM sera toujours là.]i"
Donc en 2018, vous appelez la population à soutenir Édouard Fritch ?
"On a encore deux ans devant nous avant de parler de cela."
Les prochaines municipales se tiendront en 2020, est-ce que Patrice Jamet se présentera ?
"J'ai toujours dit que si la nouvelle équipe avec le nouveau tavana réussit à mettre en place tous les projets pour le bien de la population, pourquoi reviendrais-je ? Cela fait à peine six mois que Damas est à la tête de la commune et je vois qu'il y a des projets qui vont se mettre en place. C'est vrai qu'entre les élus il y a toujours des pe'ape'a, dans quel conseil municipal il n'y a pas de tiraillements ? L'essentiel est de faire aboutir les projets et l'intérêt général."
Nicole Sanquer
Tête de liste Mahina ia Ora
"Il tient compte des besoins de toute la population de toutes les îles"
Vous êtes également membre du gouvernement d’Édouard Fritch, comment travaille-t-il ?
"Il est différent de l'ancienne équipe gouvernementale. Il travaillera avec les maires, il soutiendra leurs projets et il leur donnera les moyens pour faire avancer leur commune. C'est un changement au niveau de la gouvernance. Je peux vous dire qu'au sein des travaux que nous menons, il confirme cette
volonté par l'arbitrage qu'il prend sur les dossiers et il est à l'écoute de la population."
Quand Patrice Jamet parle d'une nouvelle gouvernance, vous rejoignez ses propos ?
"Tout à fait, il tient compte des besoins de toute la population de toutes les îles quelle que soit leur couleur politique."
Certaines personnes disent qu'Édouard Fritch est en train de faire de la politique en allant à la rencontre des tavana ?
"Pas du tout, je fais partie des tournées gouvernementales et je trouve que c'est plutôt courageux de la part d'Édouard Fritch d'aller rencontrer la population pour avoir un premier bilan de sa gouvernance. On parcourt les îles, il n'y a aucune échéance électorale, il faut savoir entendre les critiques
de la population qui a beaucoup d'attentes et se présenter devant eux avec les moyens qu'on a. Je trouve très courageux de la part de ce gouvernement."
Les prochaines échéances électorales c'est quand même en 2018, donc on peut considérer cela comme de la propagande ?
"En général, on commence les campagnes électorales un an avant et vous l'avez bien dit, les prochaines échéances se tiendront en 2018. Donc nous allons à la rencontre des populations pour faire un bilan de notre action gouvernementale et surtout pour préparer les nouvelles orientations pour répondre aux engagements que nous avons pris devant la population en 2013. C'est un point d'étape que nous faisons actuellement dans tous les archipels. Je viens de passer quatre jours à Makemo, j'ai rencontré le monde sportif, le monde de l'éducation, pour sentir exactement ce qu'ils attendent de nous et parfois la population nous critique et nous sommes là pour leur répondre et leur dire ce qu'on est capable de faire."
Tête de liste Mahina ia Ora
"Il tient compte des besoins de toute la population de toutes les îles"
Vous êtes également membre du gouvernement d’Édouard Fritch, comment travaille-t-il ?
"Il est différent de l'ancienne équipe gouvernementale. Il travaillera avec les maires, il soutiendra leurs projets et il leur donnera les moyens pour faire avancer leur commune. C'est un changement au niveau de la gouvernance. Je peux vous dire qu'au sein des travaux que nous menons, il confirme cette
volonté par l'arbitrage qu'il prend sur les dossiers et il est à l'écoute de la population."
Quand Patrice Jamet parle d'une nouvelle gouvernance, vous rejoignez ses propos ?
"Tout à fait, il tient compte des besoins de toute la population de toutes les îles quelle que soit leur couleur politique."
Certaines personnes disent qu'Édouard Fritch est en train de faire de la politique en allant à la rencontre des tavana ?
"Pas du tout, je fais partie des tournées gouvernementales et je trouve que c'est plutôt courageux de la part d'Édouard Fritch d'aller rencontrer la population pour avoir un premier bilan de sa gouvernance. On parcourt les îles, il n'y a aucune échéance électorale, il faut savoir entendre les critiques
de la population qui a beaucoup d'attentes et se présenter devant eux avec les moyens qu'on a. Je trouve très courageux de la part de ce gouvernement."
Les prochaines échéances électorales c'est quand même en 2018, donc on peut considérer cela comme de la propagande ?
"En général, on commence les campagnes électorales un an avant et vous l'avez bien dit, les prochaines échéances se tiendront en 2018. Donc nous allons à la rencontre des populations pour faire un bilan de notre action gouvernementale et surtout pour préparer les nouvelles orientations pour répondre aux engagements que nous avons pris devant la population en 2013. C'est un point d'étape que nous faisons actuellement dans tous les archipels. Je viens de passer quatre jours à Makemo, j'ai rencontré le monde sportif, le monde de l'éducation, pour sentir exactement ce qu'ils attendent de nous et parfois la population nous critique et nous sommes là pour leur répondre et leur dire ce qu'on est capable de faire."