Ce chiffre de 3,7 milliards ne correspond à aucune réalité tangible, même s’il a été avancé par les services du Haut-Commissariat. En effet, si tel était le cas, cela voudrait dire que les rentrées fiscales du Pays seraient inférieures de plus de 21 milliards par rapport aux prévisions.
Or, la prospective fait état d’une moins value fiscale par rapport aux prévisions 2010 de l’ordre de 1,6 à 1,8 milliard, ce qui pour la FIP, calculé sur la base de 17% des rentrées fiscales, représenterait au maximum un manque à gagner de 300 millions sur les 14,3 milliards prévus.
Il convient par ailleurs de rappeler qu’en 2009, le montant de la participation de la Polynésie française au FIP a représenté 15,2 milliards, tandis que la part de l’Etat, toujours inchangée, s’est élevée à un peu plus de 1 milliard.
Au total, les différentes participations de la Polynésie française au financement des communes se sont élevées à un peu plus de 18,2 milliards en 2009, tandis que l’Etat, au travers de ses différentes participation, a contribué à hauteur de 10 milliard
Or, la prospective fait état d’une moins value fiscale par rapport aux prévisions 2010 de l’ordre de 1,6 à 1,8 milliard, ce qui pour la FIP, calculé sur la base de 17% des rentrées fiscales, représenterait au maximum un manque à gagner de 300 millions sur les 14,3 milliards prévus.
Il convient par ailleurs de rappeler qu’en 2009, le montant de la participation de la Polynésie française au FIP a représenté 15,2 milliards, tandis que la part de l’Etat, toujours inchangée, s’est élevée à un peu plus de 1 milliard.
Au total, les différentes participations de la Polynésie française au financement des communes se sont élevées à un peu plus de 18,2 milliards en 2009, tandis que l’Etat, au travers de ses différentes participation, a contribué à hauteur de 10 milliard