TARAVAO, le 1er mars 2017. Le président du Pays et son gouvernement sont allés à la rencontre de Georges Moarii, des sociétés Ocean Fresh Tahiti et Ocean Products. Le Lady Cris 6 doit être mis en exploitation à la fin de ce premier semestre. L’armateur a quatre autres projets de bateaux. « Les montants de nos investissements sont énormes », a-t-il souligné. « Je vois sur deux générations. C’est ce qu’il faut faire pour la pêche ».
Vous avez mis en avant devant le président du Pays et son gouvernement que le Lady Cris allait être plus autonome et vous permettre d’aller pêcher sur de nouveaux sites. Pouvez-vous expliquer les caractéristiques de ce navire ?
Georges Moarii : « C’est un navire qui fait 21 mètres. Il a 20 000 litres de gasoil. En vitesse de croisière, il fera 12 nœuds ce qui permettra au navire de rejoindre des zones de pêche inexplorées aujourd’hui, dans la zone nord des Marquises, et surtout de pêcher le bigeye. C’est un poisson qui est très recherché, notamment aux Etats-Unis, et à forte valeur ajoutée.
Le bateau pourra aussi recevoir l’internet à haut débit. Le capitaine pourra consulter les cartes de température à tout moment. Le système de relève de la ligne est mécanisé. Avant, cela se faisait en partie de manière hydraulique et à la main. Aujourd’hui, tout est mécanique.
L’objectif est de réduire les coûts de production et d’augmenter la rentabilité. C’est ce qu’on a recherché dans ce bateau, notamment en augmentant le nombre d’hameçons posés à l’eau. »
Comment avez-vous fait pour réduire sa consommation en carburant ?
« On a travaillé avec le chantier naval sur la carène. Celui-ci m’a proposé une carène qui m’a plue dès le départ. Ensuit, le e bateau est en aluminium, donc beaucoup plus léger, et on l’a équipé de moteurs japonais les plus économiques. »
Vous avez mis en avant devant le président du Pays et son gouvernement que le Lady Cris allait être plus autonome et vous permettre d’aller pêcher sur de nouveaux sites. Pouvez-vous expliquer les caractéristiques de ce navire ?
Georges Moarii : « C’est un navire qui fait 21 mètres. Il a 20 000 litres de gasoil. En vitesse de croisière, il fera 12 nœuds ce qui permettra au navire de rejoindre des zones de pêche inexplorées aujourd’hui, dans la zone nord des Marquises, et surtout de pêcher le bigeye. C’est un poisson qui est très recherché, notamment aux Etats-Unis, et à forte valeur ajoutée.
Le bateau pourra aussi recevoir l’internet à haut débit. Le capitaine pourra consulter les cartes de température à tout moment. Le système de relève de la ligne est mécanisé. Avant, cela se faisait en partie de manière hydraulique et à la main. Aujourd’hui, tout est mécanique.
L’objectif est de réduire les coûts de production et d’augmenter la rentabilité. C’est ce qu’on a recherché dans ce bateau, notamment en augmentant le nombre d’hameçons posés à l’eau. »
Comment avez-vous fait pour réduire sa consommation en carburant ?
« On a travaillé avec le chantier naval sur la carène. Celui-ci m’a proposé une carène qui m’a plue dès le départ. Ensuit, le e bateau est en aluminium, donc beaucoup plus léger, et on l’a équipé de moteurs japonais les plus économiques. »