Hervé, le marquisien qui aime se réfugier dans ses montagnes, et découvrir au hasard d’un chemin, les traces laissées par ses ancêtres. Hervé dont le rêve est de pouvoir à son retour faire partager sa passion pour la nature aux enfants des îles à ses enfants, s’inscrit ici dans la légende des navigateurs.
Partir dit on c’est mourir un peu. Mourir des rencontres que l’on a faites, des moments de partage. Un instant, un moment unique que l’on ne vivra plus. Reprendre la mer après une semaine à terre pour les navigateurs de Otahiti Nui est à la fois exaltant et inquiétant. L’aventure reprend et avec elle, ses lendemains que l’on ne peut écrire. Le vent, la mer dictent leurs destins. Le cyclone qui les précède ravive en eux le désir de revoir leurs proches. Aventuriers des temps modernes ils expriment avec des mots que leurs ancêtres ont eux-mêmes exprimés, leur « plein d’émotion »
Hervé : J’ai plein d’émotions en moi, je pense à tant de monde. On va quitter Palau en parlant tous la même langue, on ne sera plus qu’un. La pirogue nous entend, elle est prête. Il nous faut l’écouter jusqu'à ses plus petits bruits. Otahitinui nous a amené à Palau. Notre ’équipage est prêt. Nous entamons la dernière partie en pensant à tous les gens qui nous soutiennent, à tous ceux qui nous entourent. J’ai décidé, je veux aller jusqu’en Chine, je le veux pour mon pays, Tahiti, pour le Pacifique, pour toutes les îles qui nous ont accompagnées. Si la pirogue est là c’est que nos Tupuna sont avec nous. Je suis heureux de repartir, d’aller jusqu’au bout du voyage. »….
Le rêve se poursuit donc, ils ont repris la mer, poussés par les vents mais aussi portés par toutes les amitiés qui se sont construites tout au long de leur périple, rencontres en mer, rencontres dans les îles et rencontres grâce à la magie d’internet avec le monde.
" Les passions sont les vents qui enflent les voiles du navire ; elles le submergent quelquefois, mais sans elles il ne pourrait voguer. " Voltaire
Par Michèle Lewon, le 16 octobre
Partir dit on c’est mourir un peu. Mourir des rencontres que l’on a faites, des moments de partage. Un instant, un moment unique que l’on ne vivra plus. Reprendre la mer après une semaine à terre pour les navigateurs de Otahiti Nui est à la fois exaltant et inquiétant. L’aventure reprend et avec elle, ses lendemains que l’on ne peut écrire. Le vent, la mer dictent leurs destins. Le cyclone qui les précède ravive en eux le désir de revoir leurs proches. Aventuriers des temps modernes ils expriment avec des mots que leurs ancêtres ont eux-mêmes exprimés, leur « plein d’émotion »
Hervé : J’ai plein d’émotions en moi, je pense à tant de monde. On va quitter Palau en parlant tous la même langue, on ne sera plus qu’un. La pirogue nous entend, elle est prête. Il nous faut l’écouter jusqu'à ses plus petits bruits. Otahitinui nous a amené à Palau. Notre ’équipage est prêt. Nous entamons la dernière partie en pensant à tous les gens qui nous soutiennent, à tous ceux qui nous entourent. J’ai décidé, je veux aller jusqu’en Chine, je le veux pour mon pays, Tahiti, pour le Pacifique, pour toutes les îles qui nous ont accompagnées. Si la pirogue est là c’est que nos Tupuna sont avec nous. Je suis heureux de repartir, d’aller jusqu’au bout du voyage. »….
Le rêve se poursuit donc, ils ont repris la mer, poussés par les vents mais aussi portés par toutes les amitiés qui se sont construites tout au long de leur périple, rencontres en mer, rencontres dans les îles et rencontres grâce à la magie d’internet avec le monde.
" Les passions sont les vents qui enflent les voiles du navire ; elles le submergent quelquefois, mais sans elles il ne pourrait voguer. " Voltaire
Par Michèle Lewon, le 16 octobre
Le rêve se poursuit ils ont repris la mer
Laissé les amis d'un jour
D'un moment
Des instants que l'on ne vivra plus
J'ai plein d'émotions en moi et je pense à tant de monde.
La pirogue nous attend elle est prête
L'équipage est prêt
Le destin les attend
Et leur rêve s'inscrit dans la légende
Les passions sont les vents qui enflent les voiles des navires