NEW YORK, le 26 juin 2015. La question de la Polynésie française sera examinée ce vendredi devant le comité de décolonisation de l'ONU. Richard Tuheiava prendra la parole.
Le Comité spécial de la décolonisation de l'ONU a entamé le 15 juin dernier sa reprise de session de l'année 2015 en adoptant l'ordre du jour de ses travaux "stipulant que le comité se penchera cette année sur la situation de quatre des 17 territoires non autonomes inscrits sur sa liste, à savoir la Nouvelle-Calédonie, Porto Rico, Gibraltar et le Sahara occidental". Le cas de la Polynésie française sera néanmoins évoqué ce vendredi 26 juin lors de la dernière séance de travaux de ce comité spécial avec le rapport du comité spécial sur l'adoption des recommandations.
A l'occasion de cette journée, des pétitionnaires venus des territoires concernés peuvent obtenir de s'exprimer directement devant les membres du comité. Pour la Polynésie française, Richard Tuheiava, représentant de l'assemblée de la Polynésie a prévu de faire à New York, ce vendredi un exposé sur la situation locale. Si l'ancien sénateur français est resté discret sur le propos de sa présentation, il devrait toutefois évoquer les dissemblances qui existent dans la gestion par la France (la puissance administrante) de ses relations avec les deux territoires non autonomes du Pacifique : la Nouvelle-Calédonie et la Polynésie française.
La Polynésie française a été réinscrite par l'ONU sur la liste des pays à décoloniser le 17 mai 2013. Depuis, l'assemblée générale de l'organisation des nations unies a adopté des résolutions invitant à l'ouverture du dialogue entre la France et les partisans de l'indépendance.
Le Comité spécial de la décolonisation de l'ONU a entamé le 15 juin dernier sa reprise de session de l'année 2015 en adoptant l'ordre du jour de ses travaux "stipulant que le comité se penchera cette année sur la situation de quatre des 17 territoires non autonomes inscrits sur sa liste, à savoir la Nouvelle-Calédonie, Porto Rico, Gibraltar et le Sahara occidental". Le cas de la Polynésie française sera néanmoins évoqué ce vendredi 26 juin lors de la dernière séance de travaux de ce comité spécial avec le rapport du comité spécial sur l'adoption des recommandations.
A l'occasion de cette journée, des pétitionnaires venus des territoires concernés peuvent obtenir de s'exprimer directement devant les membres du comité. Pour la Polynésie française, Richard Tuheiava, représentant de l'assemblée de la Polynésie a prévu de faire à New York, ce vendredi un exposé sur la situation locale. Si l'ancien sénateur français est resté discret sur le propos de sa présentation, il devrait toutefois évoquer les dissemblances qui existent dans la gestion par la France (la puissance administrante) de ses relations avec les deux territoires non autonomes du Pacifique : la Nouvelle-Calédonie et la Polynésie française.
La Polynésie française a été réinscrite par l'ONU sur la liste des pays à décoloniser le 17 mai 2013. Depuis, l'assemblée générale de l'organisation des nations unies a adopté des résolutions invitant à l'ouverture du dialogue entre la France et les partisans de l'indépendance.