Wellington, Nouvelle-Zélande | AFP | lundi 23/07/2017 - Le ministre britannique des Affaires étrangères Boris Johnson a comparé lundi le "hongi", salut traditionnel maori, à un coup de boule, lors d'une visite à des chefs indigènes en Nouvelle-Zélande.
Au coup d'envoi de sa première visite de deux jours dans l'archipel, le bouillant ministre s'est rendu dans un "marae", un lieu de cérémonie traditionnelle à Kaikoura, sur l'Île du Sud.
Il y a été accueilli par la cérémonie du hongi, un salut consistant pour deux personnes à se frotter le nez et le front.
Ce geste, qui signifie le partage du souffle de vie, a suscité la perplexité de M. Johnson qui s'est demandé comment il serait perçu en Ecosse, région d'où vient l'expression "Glasgow kiss", le "baiser de Glasgow", plus communément appelé coup de boule.
"Merci de m'avoir appris le hongi. Je crois que c'est une belle façon de se présenter, bien qu'elle pourrait être mal interprétée dans un pub de Glasgow si vous l'essayiez", a dit le ministre qui doit notamment rencontrer le Premier ministre néo-zélandais Bill English.
L'ancien maire de Londres est coutumier des gaffes. Il avait au printemps prôné les exportations de whisky vers l'Inde dans l'enceinte d'un temple sikh, religion qui bannit la consommation d'alcool.
Au coup d'envoi de sa première visite de deux jours dans l'archipel, le bouillant ministre s'est rendu dans un "marae", un lieu de cérémonie traditionnelle à Kaikoura, sur l'Île du Sud.
Il y a été accueilli par la cérémonie du hongi, un salut consistant pour deux personnes à se frotter le nez et le front.
Ce geste, qui signifie le partage du souffle de vie, a suscité la perplexité de M. Johnson qui s'est demandé comment il serait perçu en Ecosse, région d'où vient l'expression "Glasgow kiss", le "baiser de Glasgow", plus communément appelé coup de boule.
"Merci de m'avoir appris le hongi. Je crois que c'est une belle façon de se présenter, bien qu'elle pourrait être mal interprétée dans un pub de Glasgow si vous l'essayiez", a dit le ministre qui doit notamment rencontrer le Premier ministre néo-zélandais Bill English.
L'ancien maire de Londres est coutumier des gaffes. Il avait au printemps prôné les exportations de whisky vers l'Inde dans l'enceinte d'un temple sikh, religion qui bannit la consommation d'alcool.