New York, Etats-Unis | AFP | mercredi 02/08/2017 - La startup américaine Hyperloop One a effectué un second test réussi de son train à très grande vitesse et se dit prêt désormais à entrer en phase de commercialisation, ont indiqué mercredi à l'AFP ses dirigeants.
Le nouveau test réalisé le 29 juillet sur son site dédié dans le désert du Nevada a permis de faire circuler le prototype à 310 km/h, contre 112 km/h lors du premier essai complet, en mai.
Au total, l'Hyperloop One XP-1, le nom du prototype, a parcouru un peu moins de 450 mètres, a indiqué le groupe, qui dit avoir testé avec succès tous les composants du système.
A terme, l'Hyperloop, qui est maintenu en l'air grâce à un système de sustentation magnétique, doit atteindre 1.200 km/h, selon les projections initiales d'Hyperloop One.
"Nous avons montré que l'Hyperloop fonctionne réellement", a expliqué à l'AFP Shervin Pishevar, président exécutif et co-fondateur d'Hyperloop One, qui compte aujourd'hui près de 300 employés.
"A partir d'aujourd'hui, nous passons au processus de commercialisation", a-t-il ajouté.
Hyperloop One est déjà en contact avec plusieurs gouvernements et partenaires potentiels, a expliqué le dirigeant de la startup qui a déjà levé 160 millions de dollars auprès d'investisseurs, notamment la SNCF.
"Il est probable que les premiers Hyperloop verront le jour à l'étranger" et non aux Etats-Unis, a indiqué Shervin Pishevar, sans plus de précision géographique. "La vitesse à laquelle d'autres gouvernements (que le gouvernement américain) peuvent travailler est un avantage."
L'objectif reste la mise en service d'un Hyperloop en 2021, a indiqué le dirigeant.
Si elle apparait comme la plus avancée, Hyperloop One n'est pas la seule société positionnée sur ce marché des trains à très grande vitesse et sustentation électromagnétique.
Hyperloop Transportation Technologies (HTT) et The Northeast Smaglev, deux autres jeunes sociétés, développent également leurs propres projets.
Le nouveau test réalisé le 29 juillet sur son site dédié dans le désert du Nevada a permis de faire circuler le prototype à 310 km/h, contre 112 km/h lors du premier essai complet, en mai.
Au total, l'Hyperloop One XP-1, le nom du prototype, a parcouru un peu moins de 450 mètres, a indiqué le groupe, qui dit avoir testé avec succès tous les composants du système.
A terme, l'Hyperloop, qui est maintenu en l'air grâce à un système de sustentation magnétique, doit atteindre 1.200 km/h, selon les projections initiales d'Hyperloop One.
"Nous avons montré que l'Hyperloop fonctionne réellement", a expliqué à l'AFP Shervin Pishevar, président exécutif et co-fondateur d'Hyperloop One, qui compte aujourd'hui près de 300 employés.
"A partir d'aujourd'hui, nous passons au processus de commercialisation", a-t-il ajouté.
Hyperloop One est déjà en contact avec plusieurs gouvernements et partenaires potentiels, a expliqué le dirigeant de la startup qui a déjà levé 160 millions de dollars auprès d'investisseurs, notamment la SNCF.
"Il est probable que les premiers Hyperloop verront le jour à l'étranger" et non aux Etats-Unis, a indiqué Shervin Pishevar, sans plus de précision géographique. "La vitesse à laquelle d'autres gouvernements (que le gouvernement américain) peuvent travailler est un avantage."
L'objectif reste la mise en service d'un Hyperloop en 2021, a indiqué le dirigeant.
Si elle apparait comme la plus avancée, Hyperloop One n'est pas la seule société positionnée sur ce marché des trains à très grande vitesse et sustentation électromagnétique.
Hyperloop Transportation Technologies (HTT) et The Northeast Smaglev, deux autres jeunes sociétés, développent également leurs propres projets.