Les phases de mises en œuvre doivent être initiées en 2018, d’abord avec la constitution du comité technique ou comité de pilotage, et d’autre part avec des études préparatoires aux premiers travaux d’envergure en matière d’infrastructures pour la création des ports de plaisance principaux dans les îles.
PAPEETE, le 1er février 2018 - Dans le cadre de la Stratégie de développement touristique de la Polynésie française 2015-2020, le ministère du Tourisme a élaboré un référentiel de développement touristique nautique, appelé “Route des 36 mois”, qui fait suite à l’étude “Plaisance” réalisée par Tahiti Tourisme.
La durée de 36 mois représente la durée maximale pendant laquelle un navire étranger peut séjourner dans les eaux polynésiennes en exonération de droits et taxes à l’importation après avoir effectué des formalités obligatoires et sous réserve du respect de certaines conditions. Le travail réalisé tient compte, ainsi, des enjeux économiques et touristiques, mais également des enjeux d’image et de notoriété pour la destination, des enjeux environnementaux et des enjeux sociaux pour les résidents des îles concernées.
Les actions de la feuille de route ont été rassemblées en 4 axes stratégiques :
Le premier axe stratégique concerne la structuration. Il est ainsi proposé de constituer un comité technique de la plaisance afin de suivre les différents travaux et orienter les priorités, composé de décideurs publics politiques et administratifs, gestionnaires d’établissements publics, professionnels privés, et associations sectorielles.
Le second axe stratégique concerne le développement des infrastructures nautiques et maritimes. Les infrastructures majeures seront d’abord abordées (création de ports de plaisance stratégiques dans les archipels pour structurer l’itinéraire des visiteurs), puis seront abordés ensuite l’aménagement de débarcadères et de marinas, et ensuite l’organisation de zones de mouillages également stratégiques. Tous les archipels sont ainsi concernés.
Le troisième axe stratégique concerne les dispositifs d’information et de communication dédiés, que ce soit auprès des voyageurs, visiteurs et touristes, mais également à destination des populations impactées directement par ce développement. Il s’agit, à la fois, de communiquer sur la diversification des escales, sur les dispositifs d’accueil, les droits et devoirs, et tout simplement sur le vivre ensemble entre les différentes populations.
Le dernier axe est consacré à l’offre de service, notamment au déploiement des accès à internet. L’offre en carénage et hivernage, qui a connu une croissance importante ces 5 dernières années, doit pouvoir continuer à évoluer, à la fois en capacité d’accueil et de traitement, mais également en qualité et standards internationaux, notamment environnementaux.
Les phases de mises en œuvre doivent être initiées en 2018, d’abord avec la constitution du comité technique ou comité de pilotage, et d’autre part avec des études préparatoires aux premiers travaux d’envergure en matière d’infrastructures pour la création des ports de plaisance principaux dans les îles.
La durée de 36 mois représente la durée maximale pendant laquelle un navire étranger peut séjourner dans les eaux polynésiennes en exonération de droits et taxes à l’importation après avoir effectué des formalités obligatoires et sous réserve du respect de certaines conditions. Le travail réalisé tient compte, ainsi, des enjeux économiques et touristiques, mais également des enjeux d’image et de notoriété pour la destination, des enjeux environnementaux et des enjeux sociaux pour les résidents des îles concernées.
Les actions de la feuille de route ont été rassemblées en 4 axes stratégiques :
Le premier axe stratégique concerne la structuration. Il est ainsi proposé de constituer un comité technique de la plaisance afin de suivre les différents travaux et orienter les priorités, composé de décideurs publics politiques et administratifs, gestionnaires d’établissements publics, professionnels privés, et associations sectorielles.
Le second axe stratégique concerne le développement des infrastructures nautiques et maritimes. Les infrastructures majeures seront d’abord abordées (création de ports de plaisance stratégiques dans les archipels pour structurer l’itinéraire des visiteurs), puis seront abordés ensuite l’aménagement de débarcadères et de marinas, et ensuite l’organisation de zones de mouillages également stratégiques. Tous les archipels sont ainsi concernés.
Le troisième axe stratégique concerne les dispositifs d’information et de communication dédiés, que ce soit auprès des voyageurs, visiteurs et touristes, mais également à destination des populations impactées directement par ce développement. Il s’agit, à la fois, de communiquer sur la diversification des escales, sur les dispositifs d’accueil, les droits et devoirs, et tout simplement sur le vivre ensemble entre les différentes populations.
Le dernier axe est consacré à l’offre de service, notamment au déploiement des accès à internet. L’offre en carénage et hivernage, qui a connu une croissance importante ces 5 dernières années, doit pouvoir continuer à évoluer, à la fois en capacité d’accueil et de traitement, mais également en qualité et standards internationaux, notamment environnementaux.
Les phases de mises en œuvre doivent être initiées en 2018, d’abord avec la constitution du comité technique ou comité de pilotage, et d’autre part avec des études préparatoires aux premiers travaux d’envergure en matière d’infrastructures pour la création des ports de plaisance principaux dans les îles.