Sylvain Roux, cadre fédéral
Parole à Sylvain Roux :
Quelques mots sur cette compétition ?
« Les championnats de Polynésie, il y en a deux par saison, là c’est le premier, avec le petit bain (ndlr 25 mètres) qui lance l’année 2018, la saison s’étend de septembre à juillet. On a 1300 licenciés et une centaine de participants aujourd’hui sur les catégorie jeunes, junior et sénior, avec des performances en progression notamment chez les jeunes, donc on est contents car cela veut dire qu’il y a une bonne dynamique derrière. »
Quelques noms de nageurs, nageuses qui se sont illustrés ?
« Bien sûr Leilani Guerry Wong Foo qui a eu pas mal de titres, elle doit en être au sixième titre, c’est une habituée. Il y a eu aussi un bon 400 m nage libre de Marius Philibert du club I MUA, Poerani Bertrand confirme son statut de bonne nageuse française dans sa catégorie d’âge au 50, 100 et 200 mètres brasse. Et puis des petites jeunes comme Reva Reignier, Kalei Teamotuaitau qui pointent le bout de leur nez en se rapprochant des meilleures nageuses polynésiennes. »
Quelques mots sur cette compétition ?
« Les championnats de Polynésie, il y en a deux par saison, là c’est le premier, avec le petit bain (ndlr 25 mètres) qui lance l’année 2018, la saison s’étend de septembre à juillet. On a 1300 licenciés et une centaine de participants aujourd’hui sur les catégorie jeunes, junior et sénior, avec des performances en progression notamment chez les jeunes, donc on est contents car cela veut dire qu’il y a une bonne dynamique derrière. »
Quelques noms de nageurs, nageuses qui se sont illustrés ?
« Bien sûr Leilani Guerry Wong Foo qui a eu pas mal de titres, elle doit en être au sixième titre, c’est une habituée. Il y a eu aussi un bon 400 m nage libre de Marius Philibert du club I MUA, Poerani Bertrand confirme son statut de bonne nageuse française dans sa catégorie d’âge au 50, 100 et 200 mètres brasse. Et puis des petites jeunes comme Reva Reignier, Kalei Teamotuaitau qui pointent le bout de leur nez en se rapprochant des meilleures nageuses polynésiennes. »
Quels sont les objectifs ?
« Pour l’instant, on met en place des sections sportives qui vont s’améliorer l’année prochaine. On tend à proposer quelque chose d’intermédiaire entre les clubs polynésiens et les pôles espoir ou les pôle France pour lesquels les nageurs tahitiens partent, parce que pour l’instant on n’a pas de structure adaptée ici à Tahiti. On est en train de travailler avec les clubs là dessus. »
Plus concrètement ?
« Cela peut être un pôle Espoir sportif qui va tendre vers le haut niveau, en associant la scolarité puisque c’est très important. La natation demande beaucoup d’entrainement donc il faut caler horaires d’entrainement et études. J’espère que tout cela sera prêt pour septembre 2018. » Propos recueillis par SB
« Pour l’instant, on met en place des sections sportives qui vont s’améliorer l’année prochaine. On tend à proposer quelque chose d’intermédiaire entre les clubs polynésiens et les pôles espoir ou les pôle France pour lesquels les nageurs tahitiens partent, parce que pour l’instant on n’a pas de structure adaptée ici à Tahiti. On est en train de travailler avec les clubs là dessus. »
Plus concrètement ?
« Cela peut être un pôle Espoir sportif qui va tendre vers le haut niveau, en associant la scolarité puisque c’est très important. La natation demande beaucoup d’entrainement donc il faut caler horaires d’entrainement et études. J’espère que tout cela sera prêt pour septembre 2018. » Propos recueillis par SB