Tahiti, le 31 août 2021 - Vendredi dernier, plusieurs services de lutte contre le trafic de stupéfiants en mer ont participé à l’exercice Narcopex. Le scénario fictif mettait en scène un voilier suspect battant pavillon étranger entre Tahiti et Moorea, intercepté par la frégate Prairial de la Marine nationale.
Un exercice, Narcopex, s'est déroulé vendredi matin entre Tahiti et Moorea. Il avait pour objectif de mobiliser l’ensemble de la chaîne interministérielle de lutte contre les trafics de stupéfiants en mer et s’inscrit notamment dans le plan de lutte contre l’ice en Polynésie française signé le 3 février 2021.
Sur la base d’un scénario fictif mettant en scène un voilier considéré comme suspect et battant pavillon étranger, l'exercice d’interception de trafic de stupéfiants réunissant Marine nationale, douanes et gendarmerie a été organisé depuis la frégate Prairial par le commandant de la zone maritime de l’océan Pacifique, le contre-amiral Jean-Mathieu Rey, sous l’autorité du haut-commissaire, Dominique Sorain, représentant de l’État en mer.
Comme le prévoit le droit international de la mer, l’exercice comprenait une demande fictive adressée à l’État étranger du pavillon pour obtenir l’autorisation d’intervenir sur le voilier affrété à l’occasion entre Tahiti et Moorea, ainsi qu’un transfert à la France de la compétence juridictionnelle en vue de pouvoir juger les trafiquants présumés.
Dans la mise en scène, deux experts “fouille” du service des douanes ont ainsi procédé à l’interception, à l’enquête de pavillon, et à la constatation de l’infraction. Sous le contrôle du procureur de la République, ils ont également participé à la saisie des 75 kg de cocaïne cachés dans le voilier, à la pose de scellés, à la retenue des trafiquants présumés et au déroutement du navire.
Une équipe de gendarmes de la section de recherches de Papeete, toujours sur décision du parquet, s’est ensuite chargée de présenter les mis en cause à la justice.
Un exercice, Narcopex, s'est déroulé vendredi matin entre Tahiti et Moorea. Il avait pour objectif de mobiliser l’ensemble de la chaîne interministérielle de lutte contre les trafics de stupéfiants en mer et s’inscrit notamment dans le plan de lutte contre l’ice en Polynésie française signé le 3 février 2021.
Sur la base d’un scénario fictif mettant en scène un voilier considéré comme suspect et battant pavillon étranger, l'exercice d’interception de trafic de stupéfiants réunissant Marine nationale, douanes et gendarmerie a été organisé depuis la frégate Prairial par le commandant de la zone maritime de l’océan Pacifique, le contre-amiral Jean-Mathieu Rey, sous l’autorité du haut-commissaire, Dominique Sorain, représentant de l’État en mer.
Comme le prévoit le droit international de la mer, l’exercice comprenait une demande fictive adressée à l’État étranger du pavillon pour obtenir l’autorisation d’intervenir sur le voilier affrété à l’occasion entre Tahiti et Moorea, ainsi qu’un transfert à la France de la compétence juridictionnelle en vue de pouvoir juger les trafiquants présumés.
Dans la mise en scène, deux experts “fouille” du service des douanes ont ainsi procédé à l’interception, à l’enquête de pavillon, et à la constatation de l’infraction. Sous le contrôle du procureur de la République, ils ont également participé à la saisie des 75 kg de cocaïne cachés dans le voilier, à la pose de scellés, à la retenue des trafiquants présumés et au déroutement du navire.
Une équipe de gendarmes de la section de recherches de Papeete, toujours sur décision du parquet, s’est ensuite chargée de présenter les mis en cause à la justice.