STRASBOURG, 17 mars 2014 (AFP) - Le cadavre d'un cycliste de 48 ans, tué lors d'une collision avec un TGV dimanche près de Belfort, est resté encastré plus de 40 km à l'avant du train avant d'être découvert lors de l'arrivée de la rame en gare de Mulhouse, a-t-on appris lundi auprès de la SNCF et de la police.
Les enquêteurs n'étaient pas en mesure de préciser lundi s'il s'agissait d'un accident ou d'un suicide. L'homme a été percuté par le TGV à un passage à niveau sur la commune de Petit-Croix (Territoire-de-Belfort).
Mais ce n'est qu'en gare de Mulhouse, soit une quarantaine de kilomètres plus loin, que des agents SNCF, et également des usagers et certains passagers qui descendaient du train, ont découvert le corps, accroché "à l'avant-droit de la locomotive, non visible du conducteur", selon une porte-parole de la SNCF. Le matériel ferroviaire a été sérieusement endommagé.
Selon cette porte-parole, il est "relativement rare" que le corps d'une personne percutée par un train ne soit repéré que lors de l'arrivée en gare.
A Petit-Croix, à l'endroit supposé de la collision, les gendarmes ont retrouvé les restes du vélo de la victime
Les enquêteurs n'étaient pas en mesure de préciser lundi s'il s'agissait d'un accident ou d'un suicide. L'homme a été percuté par le TGV à un passage à niveau sur la commune de Petit-Croix (Territoire-de-Belfort).
Mais ce n'est qu'en gare de Mulhouse, soit une quarantaine de kilomètres plus loin, que des agents SNCF, et également des usagers et certains passagers qui descendaient du train, ont découvert le corps, accroché "à l'avant-droit de la locomotive, non visible du conducteur", selon une porte-parole de la SNCF. Le matériel ferroviaire a été sérieusement endommagé.
Selon cette porte-parole, il est "relativement rare" que le corps d'une personne percutée par un train ne soit repéré que lors de l'arrivée en gare.
A Petit-Croix, à l'endroit supposé de la collision, les gendarmes ont retrouvé les restes du vélo de la victime
