Versailles, France | AFP | jeudi 16/03/2017 - Douze personnes ont été touchées mercredi soir par des émanations de monoxyde de carbone dans une caserne de gendarmerie des Yvelines et huit d'entre elles ont été hospitalisées par précaution, dont deux bébés, a-t-on appris jeudi de sources concordantes.
L'alerte a été donnée vers 21H00, selon les pompiers. La fuite de ce gaz, qui inhalé à trop forte dose peut être mortel, a touché deux des huit logements de la caserne, a-t-on appris auprès des gendarmes.
Au total, sept militaires de la brigade territoriale autonome de Maule, cinq membres de leurs familles dont deux enfants de moins de deux ans, et un pompier ont dû être secourus, mais leurs jours ne sont pas en danger, selon un porte-parole de la gendarmerie.
Huit victimes ont été hospitalisées et placées sous oxygène, dont les deux bébés.
Jeudi, en milieu de journée, seule une épouse de gendarme était encore hospitalisée à Garches (Hauts-de-Seine), mais son état n'inspirait pas d'inquiétude, a précisé à l'AFP le colonel Loïc Baras, qui commande le groupement de gendarmerie des Yvelines.
Une enquête technique a été diligentée pour connaître les causes d'un dérèglement éventuel du système de chauffage de ces logements, construits à la fin des années 1970 par le conseil départemental et dont la gendarmerie est locataire.
Les locaux ne sont "pas vétustes" et la chaudière installée en 2009 était "régulièrement entretenue", selon le colonel Baras.
L'alerte a été donnée vers 21H00, selon les pompiers. La fuite de ce gaz, qui inhalé à trop forte dose peut être mortel, a touché deux des huit logements de la caserne, a-t-on appris auprès des gendarmes.
Au total, sept militaires de la brigade territoriale autonome de Maule, cinq membres de leurs familles dont deux enfants de moins de deux ans, et un pompier ont dû être secourus, mais leurs jours ne sont pas en danger, selon un porte-parole de la gendarmerie.
Huit victimes ont été hospitalisées et placées sous oxygène, dont les deux bébés.
Jeudi, en milieu de journée, seule une épouse de gendarme était encore hospitalisée à Garches (Hauts-de-Seine), mais son état n'inspirait pas d'inquiétude, a précisé à l'AFP le colonel Loïc Baras, qui commande le groupement de gendarmerie des Yvelines.
Une enquête technique a été diligentée pour connaître les causes d'un dérèglement éventuel du système de chauffage de ces logements, construits à la fin des années 1970 par le conseil départemental et dont la gendarmerie est locataire.
Les locaux ne sont "pas vétustes" et la chaudière installée en 2009 était "régulièrement entretenue", selon le colonel Baras.