Raiatea le 12 mai 2023 - Dimanche s’est déroulée la première échéance pour les candidates et candidats à l’élection Miss et Mister Raromatai : la journée de présentation à la presse et le shooting des photos officielles. Un bon exercice pour les différents prétendants, avant le grand soir de l’élection, le 3 juin prochain.
Les candidates et candidats à la prochaine élection Miss et Mister Raromatai ont passé dimanche la première étape du concours : la journée de présentation. Pour l’occasion, les jeunes ont joué le jeu des sourires et des questions réponses, puisqu’ils ont réalisé leurs photos individuelles officielles et les interviews avec la presse. Un bon exercice pour la gestion du stress. Un bon exercice également avant le grand jour, pour apprendre à rester souriant et détendu malgré la chaleur et les plusieurs passages en tenues.
Une chose est sûre, les candidats cette année ont envie de se dépasser et de donner le meilleur d’eux-mêmes. D’autant que la majorité des prétendants n’est pas encore majeure. Tarzan Amiot, à la tête du comité Miss & Mister Raromatai, revient sur ce fait : “Le soucis, c’est qu’en général, quand elles et ils se présentent ici, ils ont autour de 17 ans. On a rarement des prétendants de plus de 18 ans car ils partent ensuite sur Tahiti, après le Bac, pour suivre leurs études. Donc en général ils se présentent ici, et deux ans plus tard ils iront à Miss et Mister Tahiti”.
Pour l’instant, Tarzan confie qu’aucune Miss Raromatai n’a encore remporté la couronne à la capitale, “mais on ne perd pas espoir ! Il y a deux ans par exemple, il y a Monoihere Debeuf qui a été première dauphine ! Et l’an dernier, c’est Taianapa Pambrun qui a été élue miss Heiva !”
Lire aussi >> Miss & Mister Raromatai : Tetiareiti Taerea et Kaiva Ariitu couronnés
Les candidates et candidats à la prochaine élection Miss et Mister Raromatai ont passé dimanche la première étape du concours : la journée de présentation. Pour l’occasion, les jeunes ont joué le jeu des sourires et des questions réponses, puisqu’ils ont réalisé leurs photos individuelles officielles et les interviews avec la presse. Un bon exercice pour la gestion du stress. Un bon exercice également avant le grand jour, pour apprendre à rester souriant et détendu malgré la chaleur et les plusieurs passages en tenues.
Une chose est sûre, les candidats cette année ont envie de se dépasser et de donner le meilleur d’eux-mêmes. D’autant que la majorité des prétendants n’est pas encore majeure. Tarzan Amiot, à la tête du comité Miss & Mister Raromatai, revient sur ce fait : “Le soucis, c’est qu’en général, quand elles et ils se présentent ici, ils ont autour de 17 ans. On a rarement des prétendants de plus de 18 ans car ils partent ensuite sur Tahiti, après le Bac, pour suivre leurs études. Donc en général ils se présentent ici, et deux ans plus tard ils iront à Miss et Mister Tahiti”.
Pour l’instant, Tarzan confie qu’aucune Miss Raromatai n’a encore remporté la couronne à la capitale, “mais on ne perd pas espoir ! Il y a deux ans par exemple, il y a Monoihere Debeuf qui a été première dauphine ! Et l’an dernier, c’est Taianapa Pambrun qui a été élue miss Heiva !”
Lire aussi >> Miss & Mister Raromatai : Tetiareiti Taerea et Kaiva Ariitu couronnés
Retour sur la genèse de l'élection
Pour cette 31e édition, Tarzan Amiot revient sur la création de ce concours, dont l’organisation a fait le pont sur deux seules années depuis sa création : en 2004 lors des tensions politiques et pendant la crise sanitaire. “On a commencé à quatre au départ, Nicole et Ulysse Amaru, ma femme et moi-même. Au début on faisait tout nous-mêmes : les maquillages, la musique, etc. Maintenant l’équipe s’est agrandie, avec des chorégraphes, des maquilleurs, comme Heirani Brodien, qui nous aident et qui aiment ça.” Sur le pourquoi la création d’une telle élection, il explique : “Je suis musicien d’origine. J’étais chef d’orchestre du band de Bobby. Puis quand j’ai arrêté la musique, je voulais rester dans ce milieu du spectacle. J’étais président d’associations sportives, et avec ma femme on a imaginé faire Miss Raromatai, pour lever des fonds pour les associations. Puis finalement je ne me suis concentré que sur ça.”
Une bonne opportunité pour représenter la beauté des îles selon lui : “Miss Tahiti existait déjà, et Miss Raiatea avait existé mais il n’y avait plus d’éditions à ce moment-là. Donc j’ai décidé de faire Miss Raromatai, avec Raiatea et les îles autour, Huahine, Bora Bora, Taha’a, et Maupiti. C’était plus facile pour avoir beaucoup de candidates. Avec toutes les îles, on en avait facilement 12 à 14”.
Au fur et à mesure des années, l’événement a évolué, avec la création Mister Raromatai il y a une dizaine d’année, et surtout la fusion entre les deux élections. “Pour monter un peu le niveau, on a mixé les deux, et maintenant on limite le nombre de candidats. Comme ça on est à 14 prétendants et prétendantes, donc ça nous fait une heure de spectacle. On a arrêté de faire les éliminatoires sur les différentes îles aussi – miss Huahine, Tahaa…–, parce que c’est devenu compliqué. On concentre tout en une seule élection.”
Rendez-vous donc le 3 juin prochain, au chapiteau de la place To’a huri nihi, pour voir qui succèdera à Tetiareiti Taerea, Miss Raromatai 2022 et Kaiva Ariitu Mister Raromatai 2022.
Pour cette 31e édition, Tarzan Amiot revient sur la création de ce concours, dont l’organisation a fait le pont sur deux seules années depuis sa création : en 2004 lors des tensions politiques et pendant la crise sanitaire. “On a commencé à quatre au départ, Nicole et Ulysse Amaru, ma femme et moi-même. Au début on faisait tout nous-mêmes : les maquillages, la musique, etc. Maintenant l’équipe s’est agrandie, avec des chorégraphes, des maquilleurs, comme Heirani Brodien, qui nous aident et qui aiment ça.” Sur le pourquoi la création d’une telle élection, il explique : “Je suis musicien d’origine. J’étais chef d’orchestre du band de Bobby. Puis quand j’ai arrêté la musique, je voulais rester dans ce milieu du spectacle. J’étais président d’associations sportives, et avec ma femme on a imaginé faire Miss Raromatai, pour lever des fonds pour les associations. Puis finalement je ne me suis concentré que sur ça.”
Une bonne opportunité pour représenter la beauté des îles selon lui : “Miss Tahiti existait déjà, et Miss Raiatea avait existé mais il n’y avait plus d’éditions à ce moment-là. Donc j’ai décidé de faire Miss Raromatai, avec Raiatea et les îles autour, Huahine, Bora Bora, Taha’a, et Maupiti. C’était plus facile pour avoir beaucoup de candidates. Avec toutes les îles, on en avait facilement 12 à 14”.
Au fur et à mesure des années, l’événement a évolué, avec la création Mister Raromatai il y a une dizaine d’année, et surtout la fusion entre les deux élections. “Pour monter un peu le niveau, on a mixé les deux, et maintenant on limite le nombre de candidats. Comme ça on est à 14 prétendants et prétendantes, donc ça nous fait une heure de spectacle. On a arrêté de faire les éliminatoires sur les différentes îles aussi – miss Huahine, Tahaa…–, parce que c’est devenu compliqué. On concentre tout en une seule élection.”
Rendez-vous donc le 3 juin prochain, au chapiteau de la place To’a huri nihi, pour voir qui succèdera à Tetiareiti Taerea, Miss Raromatai 2022 et Kaiva Ariitu Mister Raromatai 2022.