PAPEETE, le 17 juin 2019 - Quatre jours avant l’élection de Miss Tahiti 2019, les neuf candidates ont passé lundi après-midi à l’hôtel Intercontinental leur traditionnel « grand oral » dont la note compte pour la moitié du résultat final de l’élection.
Le compte à rebours a commencé. Les neuf candidates à l’élection de Miss Tahiti 2019 entament la dernière ligne droite de leur préparation à l’élection qui se déroulera vendredi soir dans les jardins de la mairie de Papeete. Chaque soir de cette semaine, les neuf prétendantes et le comité vont d’ailleurs répéter sur la scène installée à la mairie. Mais avant cela, les candidates ont découvert le jury de l’élection lundi après-midi à l’hôtel Intercontinental à Faa’a pour le traditionnel, et néanmoins redouté, « grand oral ».
Devant les onze membres du jury, renforcés pour l’occasion par quatre membres du comité Miss Tahiti, les neuf jeunes femmes ont été individuellement passées au crible durant 12 à 15 minutes. Une épreuve notée, dont le résultat compte pour 50% de la note finale de l’élection. Les 50% restants étant répartis pour moitié entre les votes par SMS et les notes attribuées par le jury le soir de l’élection.
« Le but n’est pas de les faire craquer », a rappelé le comité Miss Tahiti aux membres du jury juste avant les passages. « L’intérêt, c’est de mieux les connaître et d’avoir une idée, déjà, de vos favorites ». Les candidates ont d’ailleurs également défilé en maillot de bain, juste pour le jury, dès lundi après-midi. « Ce passage en maillot compte pour la note de l’oral. Parce que le soir de l’élection, ça passe vite, il y a beaucoup de mouvement. Donc le jour de l’oral permet au jury de voir quelles candidates correspond le plus aux critères de Miss Tahiti », explique la directrice du comité, Leiana Faugerat.
Les notes du grand oral vont maintenant être précieusement conservée par un huissier, pour n’être dévoilées que vendredi soir. Le grand soir.
Le compte à rebours a commencé. Les neuf candidates à l’élection de Miss Tahiti 2019 entament la dernière ligne droite de leur préparation à l’élection qui se déroulera vendredi soir dans les jardins de la mairie de Papeete. Chaque soir de cette semaine, les neuf prétendantes et le comité vont d’ailleurs répéter sur la scène installée à la mairie. Mais avant cela, les candidates ont découvert le jury de l’élection lundi après-midi à l’hôtel Intercontinental à Faa’a pour le traditionnel, et néanmoins redouté, « grand oral ».
Devant les onze membres du jury, renforcés pour l’occasion par quatre membres du comité Miss Tahiti, les neuf jeunes femmes ont été individuellement passées au crible durant 12 à 15 minutes. Une épreuve notée, dont le résultat compte pour 50% de la note finale de l’élection. Les 50% restants étant répartis pour moitié entre les votes par SMS et les notes attribuées par le jury le soir de l’élection.
« Le but n’est pas de les faire craquer », a rappelé le comité Miss Tahiti aux membres du jury juste avant les passages. « L’intérêt, c’est de mieux les connaître et d’avoir une idée, déjà, de vos favorites ». Les candidates ont d’ailleurs également défilé en maillot de bain, juste pour le jury, dès lundi après-midi. « Ce passage en maillot compte pour la note de l’oral. Parce que le soir de l’élection, ça passe vite, il y a beaucoup de mouvement. Donc le jour de l’oral permet au jury de voir quelles candidates correspond le plus aux critères de Miss Tahiti », explique la directrice du comité, Leiana Faugerat.
Les notes du grand oral vont maintenant être précieusement conservée par un huissier, pour n’être dévoilées que vendredi soir. Le grand soir.
Herevai Hoata, candidate : « Je suis contente de moi »
Comment s’est passé l’oral ?
« Ca s’est très bien passé. Je suis assez contente de moi. J’ai passé un bon moment quand même. C’est bizarre de dire ça après un passage devant les membres du jury, mais ça s’est vraiment bien passé. Je suis contente de moi. »
Quel type de questions pose le jury ?
« C’était vraiment des questions personnelles, par rapport aux causes que l’on défend par exemple, comme la culture. C’était vraiment histoire de savoir si tout ce qu’on avait écrit était vrai, de connaître notre personnalité, de nous connaître un peu plus… Du coup ça a été facile (rires). »
C’est un moment stressant ?
« C’est toujours stressant. Il y a de l’appréhension. On ne sait pas qui sont les membres du jury avant d’entrer. On ne sait pas quelles sont les questions qu’ils nous poseront. Avoir quinze regards sur soi, ça fait toujours peur. Mais une fois qu’on se familiarise avec le jury, ça se passe bien. »
« Ca s’est très bien passé. Je suis assez contente de moi. J’ai passé un bon moment quand même. C’est bizarre de dire ça après un passage devant les membres du jury, mais ça s’est vraiment bien passé. Je suis contente de moi. »
Quel type de questions pose le jury ?
« C’était vraiment des questions personnelles, par rapport aux causes que l’on défend par exemple, comme la culture. C’était vraiment histoire de savoir si tout ce qu’on avait écrit était vrai, de connaître notre personnalité, de nous connaître un peu plus… Du coup ça a été facile (rires). »
C’est un moment stressant ?
« C’est toujours stressant. Il y a de l’appréhension. On ne sait pas qui sont les membres du jury avant d’entrer. On ne sait pas quelles sont les questions qu’ils nous poseront. Avoir quinze regards sur soi, ça fait toujours peur. Mais une fois qu’on se familiarise avec le jury, ça se passe bien. »
Leiana Faugerat, directrice du comité : « On les prépare au quotidien »
Que demande le jury aux candidates en général ?
« Comme chaque année, on laisse une certaine liberté sur les questions. Après, ce sont souvent les mêmes questions qui reviennent : Pourquoi elles se présentent à Miss Tahiti ? Qu’est-ce que représente le fait d’être ambassadrice de la Polynésie ? Seraient-elles d’accord pour partir un an en métropole et laisser leur famille derrière elle ? Ensuite il y a des questions pour approfondir leur personnalité en leur demandant par exemple où elles se verraient dans dix ans... »
Comment se préparent les candidates ?
« On a eu un oral blanc la semaine dernière et on les prépare au quotidien. On leur fait également des entretiens surprises sur des questions de culture générale, de politique, de société… On leur demande d’écouter la radio, de lire les journaux et de regarder le journal télévisé pour pouvoir répondre à des questions d’actualité. On peut leur demander ensuite leur avis sur des questions sociétales, comme le mariage homosexuel par exemple. Ensuite, on leur donne leurs notes pour qu’elles voient ce qu’elles ont à améliorer. »
« Comme chaque année, on laisse une certaine liberté sur les questions. Après, ce sont souvent les mêmes questions qui reviennent : Pourquoi elles se présentent à Miss Tahiti ? Qu’est-ce que représente le fait d’être ambassadrice de la Polynésie ? Seraient-elles d’accord pour partir un an en métropole et laisser leur famille derrière elle ? Ensuite il y a des questions pour approfondir leur personnalité en leur demandant par exemple où elles se verraient dans dix ans... »
Comment se préparent les candidates ?
« On a eu un oral blanc la semaine dernière et on les prépare au quotidien. On leur fait également des entretiens surprises sur des questions de culture générale, de politique, de société… On leur demande d’écouter la radio, de lire les journaux et de regarder le journal télévisé pour pouvoir répondre à des questions d’actualité. On peut leur demander ensuite leur avis sur des questions sociétales, comme le mariage homosexuel par exemple. Ensuite, on leur donne leurs notes pour qu’elles voient ce qu’elles ont à améliorer. »
Mehiata Riaria présidente du jury de Miss Tahiti 2019
Le jury de Miss Tahiti 2019 sera présidé par Mehiata Riaria, Miss Tahiti 2013 et première dauphine de Miss France 2014. Les dix autres membres du jury sont le directeur général d’Air Tahiti, Manate Vivish, Miss Tahiti 2017, Turouru Temorere, le communiquant Maxime Bonenfant-Brothers, Miss Tahiti 1970, Maire Tehei, la bijoutière, Titaua Mollard-Kinander, le champion de MMA, Raihere Dudes, la cadre de l’OPT, Demecia Manuel, Mister Tahiti 2017 et Mister Grand International 2018, Kevin Richmond, Lulu Wane et l’entrepreneure Vaimiti Bourez.