Vetea Toatiti se charge de la décoration des lieux. Il est aussi le chef du groupe "Te Tiare nō Beachcomber". "Nous nous sommes organisés aussi au sein de la troupe, pour les répétitions", assure-t-il.
PUNAAUIA, le 26 juillet 2018 - La 37ème édition du Mini Heiva à l'Intercontinental ouvre ses portes ce vendredi soir, sur le grand motu. Durant quatre soirées, les convives pourront profiter des spectacles, mais aussi des buffets qui seront mis à leur disposition. À quelques heures de l'ouverture, les petites mains s'activent en coulisse.
Tresser les feuilles de palmiers, ranger les chaises, préparer la scène, le personnel de l'Intercontinental s'active avant l'ouverture de la 37ème édition du Mini Heiva, ce vendredi soir.
Pour cet événement culturel, il y a toute une logistique qui se met en place, afin de répondre au mieux aux attentes du public et des touristes. "La première soirée, on sera sur le four tahitien. Les jardiniers nous donnent un bon coup de main sur cette prestation. Ils ont déjà creusé le trou pour le four. Il y a aussi les māmā qui tressent les paniers. Et nous, en cuisine, on a déjà commencé les marinades avec les poissons, toutes les papillotes qui vont être servies. La deuxième soirée va être un peu plus fruits de mer, avec des huîtres, des crevettes… La semaine suivante, on attaque encore sur une soirée fruits de mer et pour finir le samedi soir, avec une soirée archipel qui mettra en avant la spécialité des îles, un peu des Marquises, des Tuamotu…", précise Emmanuel Barazer, chef exécutif à l'Intercontinental.
La préparation des commandes et l'achat des marchandises se font une semaine en amont, "pour la mise en œuvre et la confection de tous ces buffets".
Nos agriculteurs et nos pêcheurs locaux n'ont pas été oubliés. "Nos fournisseurs locaux nous donnent un sérieux coup de main pour nous approvisionner en conséquence. Le circuit du staff de l'hôtel nous sert beaucoup, pour avoir du poisson, des légumes… On a aussi le réseau Facebook pour combler au cas où nos fournisseurs ne pourront pas nous approvisionner", ajoute Emmanuel Barazer.
Mais attention, les langoustes ne seront pas au rendez-vous, cette année. "C'est quelque chose que nous avons du mal à avoir régulièrement. Ensuite, pour les buffets, on a un besoin de calibrage sur ce type de produit, et c'est, en général, pas possible avec nos fournisseurs locaux. Donc, en ce moment, en plus avec le froid, la pêche n'est pas forcément au rendez-vous. C'est la raison pour laquelle on a évité de mettre ce produit sur nos buffets, cette année. Après derrière, il y a les crevettes, les moules… Il y en aura vraiment pour tous les goûts, avec une belle variété", précise le chef exécutif de l'Intercontinental.
Dans les cuisines de l'hôtel, chacun sait ce qu'il a à faire. Sur le motu, les décorateurs travaillent depuis trois jours pour faire de ce lieu, le plus bel endroit. De l'entrée jusqu'à la scène, en passant par les buffets, rien ne doit être mis à l'écart. "Chaque buffet a son thème. Si on parle de la mer, eh bien, nous mettrons des coquillages, des filets… Pour le mā'a tahiti, on mettra de la décoration locale", explique Vetea Toatiti, décorateur de l'établissement.
Chaque soir, les serveurs sortiront leurs plus belles tenues. En tout, ce seront près de 50 employés (extra et permanents) qui vous accompagneront durant ce Mini Heiva.
Tresser les feuilles de palmiers, ranger les chaises, préparer la scène, le personnel de l'Intercontinental s'active avant l'ouverture de la 37ème édition du Mini Heiva, ce vendredi soir.
Pour cet événement culturel, il y a toute une logistique qui se met en place, afin de répondre au mieux aux attentes du public et des touristes. "La première soirée, on sera sur le four tahitien. Les jardiniers nous donnent un bon coup de main sur cette prestation. Ils ont déjà creusé le trou pour le four. Il y a aussi les māmā qui tressent les paniers. Et nous, en cuisine, on a déjà commencé les marinades avec les poissons, toutes les papillotes qui vont être servies. La deuxième soirée va être un peu plus fruits de mer, avec des huîtres, des crevettes… La semaine suivante, on attaque encore sur une soirée fruits de mer et pour finir le samedi soir, avec une soirée archipel qui mettra en avant la spécialité des îles, un peu des Marquises, des Tuamotu…", précise Emmanuel Barazer, chef exécutif à l'Intercontinental.
La préparation des commandes et l'achat des marchandises se font une semaine en amont, "pour la mise en œuvre et la confection de tous ces buffets".
Nos agriculteurs et nos pêcheurs locaux n'ont pas été oubliés. "Nos fournisseurs locaux nous donnent un sérieux coup de main pour nous approvisionner en conséquence. Le circuit du staff de l'hôtel nous sert beaucoup, pour avoir du poisson, des légumes… On a aussi le réseau Facebook pour combler au cas où nos fournisseurs ne pourront pas nous approvisionner", ajoute Emmanuel Barazer.
Mais attention, les langoustes ne seront pas au rendez-vous, cette année. "C'est quelque chose que nous avons du mal à avoir régulièrement. Ensuite, pour les buffets, on a un besoin de calibrage sur ce type de produit, et c'est, en général, pas possible avec nos fournisseurs locaux. Donc, en ce moment, en plus avec le froid, la pêche n'est pas forcément au rendez-vous. C'est la raison pour laquelle on a évité de mettre ce produit sur nos buffets, cette année. Après derrière, il y a les crevettes, les moules… Il y en aura vraiment pour tous les goûts, avec une belle variété", précise le chef exécutif de l'Intercontinental.
Dans les cuisines de l'hôtel, chacun sait ce qu'il a à faire. Sur le motu, les décorateurs travaillent depuis trois jours pour faire de ce lieu, le plus bel endroit. De l'entrée jusqu'à la scène, en passant par les buffets, rien ne doit être mis à l'écart. "Chaque buffet a son thème. Si on parle de la mer, eh bien, nous mettrons des coquillages, des filets… Pour le mā'a tahiti, on mettra de la décoration locale", explique Vetea Toatiti, décorateur de l'établissement.
Chaque soir, les serveurs sortiront leurs plus belles tenues. En tout, ce seront près de 50 employés (extra et permanents) qui vous accompagneront durant ce Mini Heiva.
Quatre employés de l'établissement se chargent de la décoration.
Le four tahitien est prêt.