Il s’agissait pour cette intersyndicale d’exposer le bilan des rencontres qu’elle a effectuées auprès des différentes instances politiques, économiques et religieuses de Polynésie française, pour mettre en œuvre des solutions de relance de l'économie du Pays et des moyens pour y parvenir. A cet effet, l'intersyndicale a évoqué le dépôt d'un préavis de grève dès le vendredi 4 juin.
Du bilan présenté par l'intersyndicale, deux revendications majeures sont mises en avant concernant les engagements de l'Etat vis à vis de ses fonctionnaires et du financement de la PSG.
Pour sa part, le CEPF a précisé qu'il estimait urgent que le gouvernement s’attache à traiter avec les partenaires sociaux deux points cruciaux pour la relance de l’économie et le retour à la confiance :
- La réforme de la PSG et de la CPS,
- Le lancement effectif de toutes les opérations pour lesquelles des investisseurs privés sont aujourd’hui dans l’attente de décisions politiques et/ou administratives.
Le CEPF a tenu toutefois à préciser aux membres de l'intersyndicale qu'il ne s’associera à aucune action qui aurait pour conséquence de paralyser l’économie du pays ou de ternir un peu plus l’image de la Polynésie française aux yeux des touristes potentiels par des blocages de points d'entrée cruciaux ou quelques troubles que ce soit.
Enfin, le CEPF a fortement incité l'intersyndicale à repousser son projet de mouvement social en dehors de la période d'examen du baccalauréat. Il serait pour le CEPF particulièrement injuste de pénaliser fortement, dans cette période complexe pour les étudiants, toute une tranche d'âge totalement innocente et qui aurait l'impression d'être les otages d'un jeu de pseudo-adultes.
Bruno BELLANGER
1er Vice-président du CEPF
Du bilan présenté par l'intersyndicale, deux revendications majeures sont mises en avant concernant les engagements de l'Etat vis à vis de ses fonctionnaires et du financement de la PSG.
Pour sa part, le CEPF a précisé qu'il estimait urgent que le gouvernement s’attache à traiter avec les partenaires sociaux deux points cruciaux pour la relance de l’économie et le retour à la confiance :
- La réforme de la PSG et de la CPS,
- Le lancement effectif de toutes les opérations pour lesquelles des investisseurs privés sont aujourd’hui dans l’attente de décisions politiques et/ou administratives.
Le CEPF a tenu toutefois à préciser aux membres de l'intersyndicale qu'il ne s’associera à aucune action qui aurait pour conséquence de paralyser l’économie du pays ou de ternir un peu plus l’image de la Polynésie française aux yeux des touristes potentiels par des blocages de points d'entrée cruciaux ou quelques troubles que ce soit.
Enfin, le CEPF a fortement incité l'intersyndicale à repousser son projet de mouvement social en dehors de la période d'examen du baccalauréat. Il serait pour le CEPF particulièrement injuste de pénaliser fortement, dans cette période complexe pour les étudiants, toute une tranche d'âge totalement innocente et qui aurait l'impression d'être les otages d'un jeu de pseudo-adultes.
Bruno BELLANGER
1er Vice-président du CEPF