WASHINGTON, 23 février 2012 (AFP) - Les femmes qui consomment régulièrement des agrumes comme des oranges ou des pamplemousses peuvent réduire leurs risques de subir une attaque cérébrale, selon une étude américaine publiée jeudi.
Les chercheurs à l'origine de cette étude parue dans la revue "Stroke: Journal of the American Heart Association", ont travaillé à partir d'un sondage réalisé par des infirmières aux Etats-Unis durant près de 14 ans sur 69.622 patientes.
Ces dernières ont rapporté ce qu'elles mangeaient, y compris le détail de leur consommation de fruits et de légumes.
Le but de cette étude était d'étudier les effets des flavonoïdes --des substances présentes notamment dans les fruits, les légumes, le chocolat noir et le vin rouge-- sur la santé.
Elle a fait apparaître que les patientes qui avaient mangé des quantités plus importantes d'oranges et de pamplemousses, ainsi que leurs jus dérivés, avaient vu leur risque de subir une attaque cérébrale réduit de 19%.
"Ces analyses ont révélé qu'une plus grande consommation de fruits, de légumes et plus précisément de vitamine C, a un lien avec la réduction des risques d'attaque cérébrale", explique Aedin Cassidy, auteur principal de l'étude.
"Les flavonoïdes sont connus pour fournir une certaine forme de protection par le biais de différents mécanismes, comme une amélioration des fonctions des vaisseaux sanguins ou un effet anti-inflammatoire", pointe Aedin Cassidy, également professeur de nutrition à la Faculté de médecine de Norwich de l'Université East Anglia (Grande-Bretagne).
Les chercheurs espèrent ainsi que de nouvelles études permettront de mieux connaître ce lien apparent entre consommation d'agrumes et réduction du risque d'attaques cérébrales chez les femmes, appelant au passage ces dernières à manger plutôt les fruits que les jus qui en sont dérivés et qui contiennent des additifs fortement concentrés en sucre.
ksh/sam/mdm
Les chercheurs à l'origine de cette étude parue dans la revue "Stroke: Journal of the American Heart Association", ont travaillé à partir d'un sondage réalisé par des infirmières aux Etats-Unis durant près de 14 ans sur 69.622 patientes.
Ces dernières ont rapporté ce qu'elles mangeaient, y compris le détail de leur consommation de fruits et de légumes.
Le but de cette étude était d'étudier les effets des flavonoïdes --des substances présentes notamment dans les fruits, les légumes, le chocolat noir et le vin rouge-- sur la santé.
Elle a fait apparaître que les patientes qui avaient mangé des quantités plus importantes d'oranges et de pamplemousses, ainsi que leurs jus dérivés, avaient vu leur risque de subir une attaque cérébrale réduit de 19%.
"Ces analyses ont révélé qu'une plus grande consommation de fruits, de légumes et plus précisément de vitamine C, a un lien avec la réduction des risques d'attaque cérébrale", explique Aedin Cassidy, auteur principal de l'étude.
"Les flavonoïdes sont connus pour fournir une certaine forme de protection par le biais de différents mécanismes, comme une amélioration des fonctions des vaisseaux sanguins ou un effet anti-inflammatoire", pointe Aedin Cassidy, également professeur de nutrition à la Faculté de médecine de Norwich de l'Université East Anglia (Grande-Bretagne).
Les chercheurs espèrent ainsi que de nouvelles études permettront de mieux connaître ce lien apparent entre consommation d'agrumes et réduction du risque d'attaques cérébrales chez les femmes, appelant au passage ces dernières à manger plutôt les fruits que les jus qui en sont dérivés et qui contiennent des additifs fortement concentrés en sucre.
ksh/sam/mdm