MANA et l'OPT soutiennent depuis 2005 les actions de l'association "Vivre sans drogue". Cette année encore le groupe OPT a remis un chèque de 100 000 frs au profit de l'association pour financer une action qui sera mise en place le 22 février 2013, sur le thème "LIBRE ET ESCLAVE". Il s’agit d’un tableau vivant composé de plusieurs centaines de personnes agissant en même temps sur Tahiti et dans les archipels.
L'idée de ce projet est de déplacer des personnes ayant l’apparence de drogués, d’alcooliques ou de toute autre personne ravagée par une addiction. Des personnages remplies de vie, de bonne santé seront également présentées pour figurer l’autre partie de la population. La confrontation de ces opposés doit permettre à chacun de comprendre les réactions des protagonistes : d’un côté des messages d’angoisse, de dépréciation de soi, de déchéance et d’appel au secours ; de l’autre un regard extérieur impitoyable ou plein de compassion mais désarmé face à l’étendue des dégâts.
Mettre en scène le contexte réel dans lequel se trouvent les personnes qui subissent les addictions semble primordial à l’association. Car il est nécessaire de montrer le fossé que creusent les addictions ainsi que le chemin de croix que doivent faire les drogués pour reprendre le cours normal d’une existence agréable. La communication dans la communauté et l’aide extérieure devenant un préalable au mieux vivre.
Cette action permettra à ceux qui subissent les violences dues aux addictions de se reconnaître, de voir qu’ils ne sont plus seuls. Cela permettra de ne plus être paralysé par le déni et donc d’accepter de parler et d’agir pour stopper la propagation de cette maladie contagieuse qui décime les familles.
Malgré la mise en scène de toutes sortes d’addictions, la drogue reste cependant la cible principale. Car il est question avant tout d’œuvrer pour empêcher la légalisation du pakalolo en particulier et des drogues en général. Lors de ces représentations, une pétition circulera afin de montrer la détermination de la population, comme un témoignage sur un sujet poignant qui semble une banalité pour le gouvernement.
L'idée de ce projet est de déplacer des personnes ayant l’apparence de drogués, d’alcooliques ou de toute autre personne ravagée par une addiction. Des personnages remplies de vie, de bonne santé seront également présentées pour figurer l’autre partie de la population. La confrontation de ces opposés doit permettre à chacun de comprendre les réactions des protagonistes : d’un côté des messages d’angoisse, de dépréciation de soi, de déchéance et d’appel au secours ; de l’autre un regard extérieur impitoyable ou plein de compassion mais désarmé face à l’étendue des dégâts.
Mettre en scène le contexte réel dans lequel se trouvent les personnes qui subissent les addictions semble primordial à l’association. Car il est nécessaire de montrer le fossé que creusent les addictions ainsi que le chemin de croix que doivent faire les drogués pour reprendre le cours normal d’une existence agréable. La communication dans la communauté et l’aide extérieure devenant un préalable au mieux vivre.
Cette action permettra à ceux qui subissent les violences dues aux addictions de se reconnaître, de voir qu’ils ne sont plus seuls. Cela permettra de ne plus être paralysé par le déni et donc d’accepter de parler et d’agir pour stopper la propagation de cette maladie contagieuse qui décime les familles.
Malgré la mise en scène de toutes sortes d’addictions, la drogue reste cependant la cible principale. Car il est question avant tout d’œuvrer pour empêcher la légalisation du pakalolo en particulier et des drogues en général. Lors de ces représentations, une pétition circulera afin de montrer la détermination de la population, comme un témoignage sur un sujet poignant qui semble une banalité pour le gouvernement.
