Depuis deux ans, l'école Fareroi Maternelle développe la permaculture.
MAHINA, le 04/09/2017 - Développer un jardin pédagogique, fait partie du programme scolaire. Et à Mahina, l'école Fareroi Maternelle en a fait sa priorité. Grâce au composteur communal installé au sein de l'établissement, les enseignants bénéficient d'un moyen sûr pour assurer sainement cette mission. L'an dernier, un goûter à base de pastèque a été servi à toute l'école, en récoltant les graines lors des goûters.
"On garde tous les déchets verts produits par l'école", explique Maeva Virgile, directrice de l'école Fareroi Maternelle.
Au sein de cet établissement scolaire, l'équipe pédagogique développe depuis deux ans, le concept de jardin pédagogique "qui touche l'ensemble de l'école, plus spécifiquement les moyens et les grands. Mais, nous essayerons, à partir de cette année, d'intégrer les petits", précise la directrice.
Depuis deux ans, plusieurs plants ont ainsi été semés par les élèves dans le jardin de l'école. "Il y a encore les plants de tomates du mois de juin, les petits haricots, et quand ils vont relancer les semis dans les classes, puisque ça fait partie du programme, ils vont ressemer des tomates, de l'ail, des haricots. Donc, tout ce qui pousse assez facilement, et tout ce qui est petite herbe comme le persil, le basilic…", raconte Maeva Virgile.
L'équipe pédagogique veut aussi et surtout développer la permaculture. "Le principe est de produire des légumes sans apport de pesticides chimiques, sans que ça demande de grands travaux et d'aménagement. Sur la surface du sol, on entrepose des cartons, les feuilles du jardin, la tonte de gazon. Et on laisse la nature faire sa décomposition. Ensuite, on mettra de la terre et on plantera directement", décrit Maeva Virgile.
L'objectif est que les enfants comprennent comment fonctionne la terre et comment nourrit-elle la plante ?
Et pour que tout soit opérationnel, l'école a reçu en début d'année scolaire 2016-2017, le composteur communal. "On y met des végétaux puis de la terre par-dessus, c'est pour accélérer le processus, puisque dans la terre, il y a les insectes qui vont remonter pour se nourrir."
Un composteur en plastique et facile à utiliser. "C'est nous qui avons demandé à la commune de l'installer au sein de notre établissement, parce que je savais que la commune avait ce projet-là. Donc, le personnel communal a aussi été envoyé en formation. J'ai ma référente qui a été formée pour l'utilisation. C'était plus simple de déplacer les élèves là que d'aller ailleurs. Donc, les enfants récupèrent le compost. Bien sûr, nous leur expliquons l'utilité de ce composteur. "
Et grâce à ces actions écologiques, un grand goûter a même pu être offert à l'ensemble des élèves l'an dernier. "Nous avions récupéré les graines de pastèque lors des goûters, que nous avons redistribué dans les classes. Et pour s'amuser, les enfants sont allés les semer et nous avons eu une récolte qui a permis de faire un goûter pour toute l'école. Et en même temps, les enfants apprennent tout sur le potager", confie la directrice.
"On garde tous les déchets verts produits par l'école", explique Maeva Virgile, directrice de l'école Fareroi Maternelle.
Au sein de cet établissement scolaire, l'équipe pédagogique développe depuis deux ans, le concept de jardin pédagogique "qui touche l'ensemble de l'école, plus spécifiquement les moyens et les grands. Mais, nous essayerons, à partir de cette année, d'intégrer les petits", précise la directrice.
Depuis deux ans, plusieurs plants ont ainsi été semés par les élèves dans le jardin de l'école. "Il y a encore les plants de tomates du mois de juin, les petits haricots, et quand ils vont relancer les semis dans les classes, puisque ça fait partie du programme, ils vont ressemer des tomates, de l'ail, des haricots. Donc, tout ce qui pousse assez facilement, et tout ce qui est petite herbe comme le persil, le basilic…", raconte Maeva Virgile.
L'équipe pédagogique veut aussi et surtout développer la permaculture. "Le principe est de produire des légumes sans apport de pesticides chimiques, sans que ça demande de grands travaux et d'aménagement. Sur la surface du sol, on entrepose des cartons, les feuilles du jardin, la tonte de gazon. Et on laisse la nature faire sa décomposition. Ensuite, on mettra de la terre et on plantera directement", décrit Maeva Virgile.
L'objectif est que les enfants comprennent comment fonctionne la terre et comment nourrit-elle la plante ?
Et pour que tout soit opérationnel, l'école a reçu en début d'année scolaire 2016-2017, le composteur communal. "On y met des végétaux puis de la terre par-dessus, c'est pour accélérer le processus, puisque dans la terre, il y a les insectes qui vont remonter pour se nourrir."
Un composteur en plastique et facile à utiliser. "C'est nous qui avons demandé à la commune de l'installer au sein de notre établissement, parce que je savais que la commune avait ce projet-là. Donc, le personnel communal a aussi été envoyé en formation. J'ai ma référente qui a été formée pour l'utilisation. C'était plus simple de déplacer les élèves là que d'aller ailleurs. Donc, les enfants récupèrent le compost. Bien sûr, nous leur expliquons l'utilité de ce composteur. "
Et grâce à ces actions écologiques, un grand goûter a même pu être offert à l'ensemble des élèves l'an dernier. "Nous avions récupéré les graines de pastèque lors des goûters, que nous avons redistribué dans les classes. Et pour s'amuser, les enfants sont allés les semer et nous avons eu une récolte qui a permis de faire un goûter pour toute l'école. Et en même temps, les enfants apprennent tout sur le potager", confie la directrice.