Toulouse, France | AFP | lundi 11/09/2017 - "Non à la baisse des APL" ou "non aux ordonnances": Entre 300 à 400 personnes, selon la préfecture, 2.000 personnes, selon la CGT, ont manifesté à Toulouse contre le président Emmanuel Macron venu présenter sa politique du logement pour le quinquennat.
Devant le monument aux morts, la CGT, Solidaires, FSU, NPA mais aussi les étudiants de l'UNEF ont déployé une grande banderole "Front social. S'unir et lutter pour ne plus subir et pour gagner", ont constaté des journalistes de l'AFP.
"Je suis là pour +faire la fête+ à Macron", a lancé Sabine, 71 ans, remonté contre un président qui "démolit la Sécu". "C'est vraiment le président des riches, des banques", a-t-elle estimé.
A ses côtés, Tibo, 26 ans, a acquiescé: "Lui, son gouvernement et ses députés sont illégitimes. Ils ont été élus avec une abstention record".
"C'est la preuve que les Français ne se reconnaissent plus dans cette mascarade. Qu'il y a une aspiration à un changement radical", a-t-il assuré.
D'autres banderoles ou affichettes ont été brandies comme "Président raté", ou "Rien n'est bon dans le Macron sauf pour les patrons", "ni fainéantes ni cyniques ni extrêmes mais citoyennes révoltées" ou encore: "Ça sent le Gattaz".
"C'est un signal pour dire qu'on ne veut pas des ordonnances. Les salariés sont mobilisés. Ils veulent montrer le modèle de société qu'ils souhaitent. Ça commence par avoir accès à un logement, le thème du jour, et donc avoir un travail", a commenté Cédric Caubère, secrétaire départemental CGT, qui se voulait "confiant dans la mobilisation" de mardi lors du mouvement national contre les ordonnances.
"L'idée était de faire un comité d'accueil. Baisser les loyers comme le veut M. Macron ça ne marche qu'au pays des Bisounours", a affirmé François Piquemal, porte-parole de Droit au Logement 31, réclamant "un encadrement des loyers sur tout le territoire".
"Ce serait une vraie mesure sociale", a-t-il fait valoir.
Pour les étudiants, il s'agit de s'opposer à la baisse des 5 euros des APL. "Il y a des jeunes pour qui 5 euros, ce sont deux repas", a souligné Adrien Liénard, vice-président de l'UNEF Toulouse qui s'oppose à la sélection à l'entrée à l'université.
Devant le monument aux morts, la CGT, Solidaires, FSU, NPA mais aussi les étudiants de l'UNEF ont déployé une grande banderole "Front social. S'unir et lutter pour ne plus subir et pour gagner", ont constaté des journalistes de l'AFP.
"Je suis là pour +faire la fête+ à Macron", a lancé Sabine, 71 ans, remonté contre un président qui "démolit la Sécu". "C'est vraiment le président des riches, des banques", a-t-elle estimé.
A ses côtés, Tibo, 26 ans, a acquiescé: "Lui, son gouvernement et ses députés sont illégitimes. Ils ont été élus avec une abstention record".
"C'est la preuve que les Français ne se reconnaissent plus dans cette mascarade. Qu'il y a une aspiration à un changement radical", a-t-il assuré.
D'autres banderoles ou affichettes ont été brandies comme "Président raté", ou "Rien n'est bon dans le Macron sauf pour les patrons", "ni fainéantes ni cyniques ni extrêmes mais citoyennes révoltées" ou encore: "Ça sent le Gattaz".
"C'est un signal pour dire qu'on ne veut pas des ordonnances. Les salariés sont mobilisés. Ils veulent montrer le modèle de société qu'ils souhaitent. Ça commence par avoir accès à un logement, le thème du jour, et donc avoir un travail", a commenté Cédric Caubère, secrétaire départemental CGT, qui se voulait "confiant dans la mobilisation" de mardi lors du mouvement national contre les ordonnances.
"L'idée était de faire un comité d'accueil. Baisser les loyers comme le veut M. Macron ça ne marche qu'au pays des Bisounours", a affirmé François Piquemal, porte-parole de Droit au Logement 31, réclamant "un encadrement des loyers sur tout le territoire".
"Ce serait une vraie mesure sociale", a-t-il fait valoir.
Pour les étudiants, il s'agit de s'opposer à la baisse des 5 euros des APL. "Il y a des jeunes pour qui 5 euros, ce sont deux repas", a souligné Adrien Liénard, vice-président de l'UNEF Toulouse qui s'oppose à la sélection à l'entrée à l'université.