PUNAAUIA, le 30 janvier 2017 - Le maire de la commune, Rony Tumahai, pourra même faire appel à la force publique s'ils ne s'exécutent pas dans un délai de trois jours.
Le tribunal de première instance de Papeete a tranché ce lundi matin : les familles qui squattent depuis le mois de novembre les terrains du nouveau cimetière de Vaitavere, sur fond de revendications foncières, vont devoir en libérer l'accès. Ils ont trois jours pour s'exécuter à raison d'une astreinte de 100 000 francs par jour de retard et devront en outre verser la somme de 150 000 francs à la mairie de Punaauia au titre des dommages et intérêts.
La procédure engagée contre les squatteurs par la mairie en fin d'année dernière avait connu plusieurs reports. Le tribunal a estimé ce lundi qu'ils n'avaient, entre autre, aucun titre de propriété recevable. Présent au tribunal, l'un des représentants des revendiquants a laissé entendre qu'il ne comptait pas partir et voulait faire appel de cette décision.
Ces blocages paralysent depuis des mois l'exploitation de ce nouveau cimetière communal de Punaauia et ont même conduit certaines familles à enterrer leurs morts dans les communes voisines. Si les squatteurs ne respectent pas la décision de justice dans le délai imparti de trois jours, le maire Rony Tumahai sera fondé à demander le concours de la force publique pour procéder à leur expulsion.
Le tribunal de première instance de Papeete a tranché ce lundi matin : les familles qui squattent depuis le mois de novembre les terrains du nouveau cimetière de Vaitavere, sur fond de revendications foncières, vont devoir en libérer l'accès. Ils ont trois jours pour s'exécuter à raison d'une astreinte de 100 000 francs par jour de retard et devront en outre verser la somme de 150 000 francs à la mairie de Punaauia au titre des dommages et intérêts.
La procédure engagée contre les squatteurs par la mairie en fin d'année dernière avait connu plusieurs reports. Le tribunal a estimé ce lundi qu'ils n'avaient, entre autre, aucun titre de propriété recevable. Présent au tribunal, l'un des représentants des revendiquants a laissé entendre qu'il ne comptait pas partir et voulait faire appel de cette décision.
Ces blocages paralysent depuis des mois l'exploitation de ce nouveau cimetière communal de Punaauia et ont même conduit certaines familles à enterrer leurs morts dans les communes voisines. Si les squatteurs ne respectent pas la décision de justice dans le délai imparti de trois jours, le maire Rony Tumahai sera fondé à demander le concours de la force publique pour procéder à leur expulsion.