Tahiti, le 28 août 2024 – Ce mardi, le ministre de l’Agriculture, Taivini Teai, a inauguré la 4e session du congrès du secteur primaire de Polynésie française à Tubuai. L'occasion d'aborder avec les différents acteurs du secteur les problématiques à surmonter en vue d'une éventuelle souveraineté alimentaire.
Le ministre de l’Agriculture, Taivini Teai, s'est rendu aux Australes ce mardi afin d'inaugurer la 4e session du congrès du secteur primaire de Polynésie à Tubuai. Un événement majeur qui a réuni 150 professionnels de l'agriculture et des ressources marines, venus des îles de Rurutu, Rimatara, Rapa et Tubuai. L'occasion pour les autorités compétentes et les différents acteurs du secteur d'aborder les problématiques et défis majeurs qui se présentent dans l'archipel : retenir les professionnels et les jeunes sur les exploitations, développer des filières pour réduire la dépendance aux importations ou encore augmenter la valeur des produits via l'agro-transformation pour ne citer qu'eux. Heureusement, le tableau n'est pas tout noir puisque certaines ressources offrent des opportunités, à l'exemple des projets d'élevage de bénitiers et de rori titi. Et si l'objectif semble encore bien loin, le Pays assure que la souveraineté alimentaire reste la priorité absolue de sa politique agricole.
Le ministre de l’Agriculture, Taivini Teai, s'est rendu aux Australes ce mardi afin d'inaugurer la 4e session du congrès du secteur primaire de Polynésie à Tubuai. Un événement majeur qui a réuni 150 professionnels de l'agriculture et des ressources marines, venus des îles de Rurutu, Rimatara, Rapa et Tubuai. L'occasion pour les autorités compétentes et les différents acteurs du secteur d'aborder les problématiques et défis majeurs qui se présentent dans l'archipel : retenir les professionnels et les jeunes sur les exploitations, développer des filières pour réduire la dépendance aux importations ou encore augmenter la valeur des produits via l'agro-transformation pour ne citer qu'eux. Heureusement, le tableau n'est pas tout noir puisque certaines ressources offrent des opportunités, à l'exemple des projets d'élevage de bénitiers et de rori titi. Et si l'objectif semble encore bien loin, le Pays assure que la souveraineté alimentaire reste la priorité absolue de sa politique agricole.