Teva Rohfritsch lors de la présentation des dispositifs à la presse le 07 juillet
Bien seul dans l’hémicycle et avec des crédits rognés de moitié suite au vote du collectif n°4 la veille, le ministre a obtenu gain de cause auprès des représentants de l’assemblée sur la nécessité d’adopter ces premières mesures d’urgences qui en appelleront d’autres à l’issue des travaux du CARE.
Le ministre a tenu à rappeler les objectifs de ces mesures, qui dans un contexte budgétaire tendu, apporteraient une véritable bouffée d’oxygène pour l’économie polynésienne, en permettant un effet de levier important : 10 milliards pourront ainsi être injectés dans le secteur du bâtiment.
Les trois objectifs affichés, rappelé en séance par le ministre sont :
1. stimuler l’activité économique, notamment le secteur du BTP, particulièrement le second œuvre du bâtiment (pourvoyeur d’emploi pour les petites entreprises et corps de métiers (menuisiers, plombiers, électriciens, carreleurs, ...) ;
2. faciliter l’accession à la propriété des ménages polynésiens, en particulier les jeunes aux revenus inférieurs à 500.000 F CFP ;
3. préserver et maintenir les emplois des entreprises locales dans le secteur du BTP.
Le premier dispositif, Prêt d’Accès à la Propriété (PAP), concentre l’aide publique en faveur des ménages aux revenus modestes. Le ministre espère que le Prêt Incitatif au Logement (PIL) puisse provoquer la décision des ménages un peu plus aisés de mobiliser leur épargne et leur capacité d’emprunt pour investir dans l’habitat (aménagement de la résidence principale, projet pour un nouveau logement, ..). La Prime à l’Investissement des Ménages (PIM) offrira un apport providentiel aux ménages pour boucler leur besoin de financement ou pour finir d’aménager ou d’équiper leur logement.
Le ministre, après d’âpres négociations avec les établissements bancaires de la place, a tenu a confirmé que les tranches des taux nominaux accordés varieront entre 4 et 4.75%, ce qui permettra d’offrir aux polynésiens des taux de crédit entre 0 et 1 % après bonification du Pays.
La prochaine étape consistera à la signature des conventions avec les établissements bancaires de la place permettant l’entrée en vigueur des dispositifs : l’objectif étant que les ménages puissent prendre des premiers rendez-vous avec leur banquier à compter du 1er septembre 2010.
Le ministre a tenu à rappeler les objectifs de ces mesures, qui dans un contexte budgétaire tendu, apporteraient une véritable bouffée d’oxygène pour l’économie polynésienne, en permettant un effet de levier important : 10 milliards pourront ainsi être injectés dans le secteur du bâtiment.
Les trois objectifs affichés, rappelé en séance par le ministre sont :
1. stimuler l’activité économique, notamment le secteur du BTP, particulièrement le second œuvre du bâtiment (pourvoyeur d’emploi pour les petites entreprises et corps de métiers (menuisiers, plombiers, électriciens, carreleurs, ...) ;
2. faciliter l’accession à la propriété des ménages polynésiens, en particulier les jeunes aux revenus inférieurs à 500.000 F CFP ;
3. préserver et maintenir les emplois des entreprises locales dans le secteur du BTP.
Le premier dispositif, Prêt d’Accès à la Propriété (PAP), concentre l’aide publique en faveur des ménages aux revenus modestes. Le ministre espère que le Prêt Incitatif au Logement (PIL) puisse provoquer la décision des ménages un peu plus aisés de mobiliser leur épargne et leur capacité d’emprunt pour investir dans l’habitat (aménagement de la résidence principale, projet pour un nouveau logement, ..). La Prime à l’Investissement des Ménages (PIM) offrira un apport providentiel aux ménages pour boucler leur besoin de financement ou pour finir d’aménager ou d’équiper leur logement.
Le ministre, après d’âpres négociations avec les établissements bancaires de la place, a tenu a confirmé que les tranches des taux nominaux accordés varieront entre 4 et 4.75%, ce qui permettra d’offrir aux polynésiens des taux de crédit entre 0 et 1 % après bonification du Pays.
La prochaine étape consistera à la signature des conventions avec les établissements bancaires de la place permettant l’entrée en vigueur des dispositifs : l’objectif étant que les ménages puissent prendre des premiers rendez-vous avec leur banquier à compter du 1er septembre 2010.