PAPEETE, le 18 juin 2015. La Fédération des sapeurs-pompiers en Polynésie Française dressait un bilan plutôt positif de son activité en 2014 avec plus de 26.000 interventions réalisées l’an dernier.
Ils sont 552 sapeurs-pompiers en Polynésie à s’engager au quotidien au service de la population. Ce jeudi, l’ensemble des chefs de corps et la direction de la Défense et de la Protection civile étaient réunis dans la salle du conseil municipal de Papara afin de dresser le bilan de leurs actions menées en 2014.
Plus de 26.000 interventions ont été réalisées l’an dernier sur l’ensemble de la Polynésie Française. Un résultat obtenu grâce à un outil « de statistiques qui nous permettent d’aller plus en détails dans nos interventions. Bien évidemment, avec 3 grandes familles : l’incendie, le secours à la personne et des interventions diverses pour faire simple », explique le lieutenant-colonel Frédéric Tournay, directeur de la Défense et de la Protection civile en Polynésie française.
Parmi les principales missions d’un sapeur-pompier, on retrouve en pole position, le secours aux victimes avec plus de 13.510 interventions, suivi des aides à la personne, avec 6 480 interventions.
« C’est un bilan positif parce que la première des choses à faire est de se rassembler, avoir la même vision de la problématique et aller dans le même sens. Et là, je pense qu’aujourd’hui les sapeurs-pompiers y compris les élus vont dans le même sens », assure le lieutenant-colonel Frédéric Tournay.
Aujourd’hui, la direction note un réel besoin en matière de sapeurs-pompiers volontaires. La fonction compte aujourd’hui 288 sapeurs-pompiers volontaires contre 264 permanents, « Un sapeur-pompier permanent doit passer un concours, des tests d’aptitudes physiques régulièrement et doit s’entretenir physiquement. Il est embauché et touche un salaire par la commune. Un sapeur-pompier volontaire est simplement indemnisé. Il doit aussi subir des épreuves physiques de manière régulière, mais c’est quelque chose qui vient en plus de son travail. Donc on n’exige pas de lui, qu’il soit présent tous les jours. »
Autres projets de grande envergure, la création des centres de secours sur Rimatara, Raivavae, Manihi, etc.
Ils sont 552 sapeurs-pompiers en Polynésie à s’engager au quotidien au service de la population. Ce jeudi, l’ensemble des chefs de corps et la direction de la Défense et de la Protection civile étaient réunis dans la salle du conseil municipal de Papara afin de dresser le bilan de leurs actions menées en 2014.
Plus de 26.000 interventions ont été réalisées l’an dernier sur l’ensemble de la Polynésie Française. Un résultat obtenu grâce à un outil « de statistiques qui nous permettent d’aller plus en détails dans nos interventions. Bien évidemment, avec 3 grandes familles : l’incendie, le secours à la personne et des interventions diverses pour faire simple », explique le lieutenant-colonel Frédéric Tournay, directeur de la Défense et de la Protection civile en Polynésie française.
Parmi les principales missions d’un sapeur-pompier, on retrouve en pole position, le secours aux victimes avec plus de 13.510 interventions, suivi des aides à la personne, avec 6 480 interventions.
« C’est un bilan positif parce que la première des choses à faire est de se rassembler, avoir la même vision de la problématique et aller dans le même sens. Et là, je pense qu’aujourd’hui les sapeurs-pompiers y compris les élus vont dans le même sens », assure le lieutenant-colonel Frédéric Tournay.
Aujourd’hui, la direction note un réel besoin en matière de sapeurs-pompiers volontaires. La fonction compte aujourd’hui 288 sapeurs-pompiers volontaires contre 264 permanents, « Un sapeur-pompier permanent doit passer un concours, des tests d’aptitudes physiques régulièrement et doit s’entretenir physiquement. Il est embauché et touche un salaire par la commune. Un sapeur-pompier volontaire est simplement indemnisé. Il doit aussi subir des épreuves physiques de manière régulière, mais c’est quelque chose qui vient en plus de son travail. Donc on n’exige pas de lui, qu’il soit présent tous les jours. »
Autres projets de grande envergure, la création des centres de secours sur Rimatara, Raivavae, Manihi, etc.