PARIS, 09 nov 2012 (AFP) - Plus de trois dirigeants d'entreprise sur quatre (77%) se disent favorables au principe du travail à distance, mais seuls 45% répondraient favorablement à la demande d'un de leurs salariés, selon un sondage Mobilitis/Opinionway publié vendredi.
A la question "Selon vous, combien de jours par semaine est-il raisonnable d'autoriser un salarié d'une entreprise à travailler à distance", 77% des dirigeants accorderaient de 1 à 5 jours, dont 39% de 1 à 2 jours et 38% de 3 à 5%. Seuls 18% n'en accorderaient aucun.
A la même question, 93% des salariés approuvent l'idée: 69% d'entre eux estiment qu'il serait raisonnable d'accorder 1 à 2 jours de télétravail, et 24% de 3 à 5 jours.
Mais à la question "Si un salarié de votre entreprise vous demande un télétravail partiel", les dirigeants d'entreprise ne sont plus que 45% à y être "plutôt favorables" contre 48% "plutôt opposés".
Pour 62% des dirigeants, le travail à distance n'aurait aucun impact sur le travail des salariés, pour 20% il le dégraderait, et pour 13% il l'améliorerait.
Côté salariés, un sur deux (51%) pense que le travail à distance ne change rien, 11% estiment qu'il dégrade le travail et 37% qu'il l'améliore.
Un salarié sur dix déclare par ailleurs être amené à travailler chez lui lors de sa journée de travail, même occasionnellement.
Le télétravail consiste à exercer son activité professionnelle hors de l'entreprise, notamment à domicile, grâce aux nouvelles technologies de l'information et de la communication.
Sondage réalisé du 26 septembre au 4 octobre par téléphone auprès de 304 dirigeants d'entreprise de toutes tailles et sur internet auprès de 813 salariés travaillant dans un bureau, issus d'un échantillon représentatif des salariés du secteur privé et public.
A la question "Selon vous, combien de jours par semaine est-il raisonnable d'autoriser un salarié d'une entreprise à travailler à distance", 77% des dirigeants accorderaient de 1 à 5 jours, dont 39% de 1 à 2 jours et 38% de 3 à 5%. Seuls 18% n'en accorderaient aucun.
A la même question, 93% des salariés approuvent l'idée: 69% d'entre eux estiment qu'il serait raisonnable d'accorder 1 à 2 jours de télétravail, et 24% de 3 à 5 jours.
Mais à la question "Si un salarié de votre entreprise vous demande un télétravail partiel", les dirigeants d'entreprise ne sont plus que 45% à y être "plutôt favorables" contre 48% "plutôt opposés".
Pour 62% des dirigeants, le travail à distance n'aurait aucun impact sur le travail des salariés, pour 20% il le dégraderait, et pour 13% il l'améliorerait.
Côté salariés, un sur deux (51%) pense que le travail à distance ne change rien, 11% estiment qu'il dégrade le travail et 37% qu'il l'améliore.
Un salarié sur dix déclare par ailleurs être amené à travailler chez lui lors de sa journée de travail, même occasionnellement.
Le télétravail consiste à exercer son activité professionnelle hors de l'entreprise, notamment à domicile, grâce aux nouvelles technologies de l'information et de la communication.
Sondage réalisé du 26 septembre au 4 octobre par téléphone auprès de 304 dirigeants d'entreprise de toutes tailles et sur internet auprès de 813 salariés travaillant dans un bureau, issus d'un échantillon représentatif des salariés du secteur privé et public.
