PAPEETE, le 15 juin 2016. Le président, entouré des membres de son gouvernement, a reçu mercredi après-midi les représentants du Medef et de la CGPME.
Le président entendait par cette réunion apporter des réponses aux attentes des organisations patronales, et notamment sur la poursuite de la réforme de la PSG et sur la problématique des redressements opérés par la CPS auprès des entreprises sur les avantages en nature sur la base d’un texte réglementaire qui date de 1956. Olivier Kressmann, président du Medef, et Christophe Plée, président de la CGPME, ont ainsi pu exposer devant le gouvernement leur position vis-à- vis de l’ouverture de nouvelles négociations sur la réforme de la PSG avec les syndicats qui n’avaient pas participé aux travaux initiaux.
Le président Edouard Fritch, pour sa part, a rappelé qu’il avait souhaité ouvrir le débat avec l’ensemble des partenaires sociaux. « Mon vœu est d’avoir l’avis de tout le monde. Je leur ai donné un mois. Mais la décision, c’est le gouvernement et l’assemblée qui la prendront », a déclaré le président.
Il a également indiqué que l’objectif de présenter les textes de la réforme lors de la session budgétaire de l’Assemblée était toujours Sur la question des redressements de la CPS, les organisations patronales ont rappelé les difficultés insupportables que cela faisait peser sur les entreprises, tout en ne comprenant pas la décision du Conseil d’Etat qui a rejeté le recours du Medef. Le président, parfaitement conscient des difficultés économiques engendrées par l’action de la CPS, a proposé d’engager avec les deux organisations patronales une concertation afin de trouver une solution satisfaisante pour les chefs d’entreprises.
Le président entendait par cette réunion apporter des réponses aux attentes des organisations patronales, et notamment sur la poursuite de la réforme de la PSG et sur la problématique des redressements opérés par la CPS auprès des entreprises sur les avantages en nature sur la base d’un texte réglementaire qui date de 1956. Olivier Kressmann, président du Medef, et Christophe Plée, président de la CGPME, ont ainsi pu exposer devant le gouvernement leur position vis-à- vis de l’ouverture de nouvelles négociations sur la réforme de la PSG avec les syndicats qui n’avaient pas participé aux travaux initiaux.
Le président Edouard Fritch, pour sa part, a rappelé qu’il avait souhaité ouvrir le débat avec l’ensemble des partenaires sociaux. « Mon vœu est d’avoir l’avis de tout le monde. Je leur ai donné un mois. Mais la décision, c’est le gouvernement et l’assemblée qui la prendront », a déclaré le président.
Il a également indiqué que l’objectif de présenter les textes de la réforme lors de la session budgétaire de l’Assemblée était toujours Sur la question des redressements de la CPS, les organisations patronales ont rappelé les difficultés insupportables que cela faisait peser sur les entreprises, tout en ne comprenant pas la décision du Conseil d’Etat qui a rejeté le recours du Medef. Le président, parfaitement conscient des difficultés économiques engendrées par l’action de la CPS, a proposé d’engager avec les deux organisations patronales une concertation afin de trouver une solution satisfaisante pour les chefs d’entreprises.