Paris, France | AFP | mercredi 05/04/2017 - Le préfet de police de Paris, Michel Cadot, a autorisé mercredi les officiers de police judiciaire à inspecter et fouiller les bagages dans les transports en commun, selon un arrêté publié sur le site de la préfecture.
Cet arrêté pris mardi soir autorise les officiers de police judiciaire "à procéder à des contrôles d'identité, à l'inspection visuelle et la fouille des bagages dans les transports en commun de voyageurs par voie ferrée de Paris" mercredi "entre 07H00 et 22H00".
Cette mesure peut être reconduite jour par jour.
Elle fait suite à l'annonce lundi par le ministre de l'Intérieur, Matthias Fekl, d'un redéploiement de moyens de sécurité dans les transports en commun "par mesure de précaution", après l'attentat qui a fait 14 morts dans le métro de Saint-Pétersbourg.
L'arrêté précise que les officiers de police judiciaire sont également autorisés à "visiter les véhicules circulant, arrêtés ou stationnant sur la voie publique ou dans les lieux accessibles au public sur les lignes, stations, gares, arrêts et couloirs des transports en commun".
De telles mesures ont déjà été prises dans le cadre de l'état d'urgence notamment, par exemple lors de l'arrivée du Tour de France sur les Champs-Élysées en juillet.
Quatorze personnes ont été tuées et 49 blessées lundi dans une attaque suicide dans un wagon du métro de Saint-Pétersbourg entre deux stations d'une ligne fréquentée du centre-ville.
Le kamikaze présumé a été identifié comme un homme de 22 ans né au Kirghizistan et de nationalité russe, selon les enquêteurs russes qui ont indiqué examiner d'éventuels liens avec l'organisation Etat islamique (EI). L'attaque n'a pas été revendiquée.
Cet arrêté pris mardi soir autorise les officiers de police judiciaire "à procéder à des contrôles d'identité, à l'inspection visuelle et la fouille des bagages dans les transports en commun de voyageurs par voie ferrée de Paris" mercredi "entre 07H00 et 22H00".
Cette mesure peut être reconduite jour par jour.
Elle fait suite à l'annonce lundi par le ministre de l'Intérieur, Matthias Fekl, d'un redéploiement de moyens de sécurité dans les transports en commun "par mesure de précaution", après l'attentat qui a fait 14 morts dans le métro de Saint-Pétersbourg.
L'arrêté précise que les officiers de police judiciaire sont également autorisés à "visiter les véhicules circulant, arrêtés ou stationnant sur la voie publique ou dans les lieux accessibles au public sur les lignes, stations, gares, arrêts et couloirs des transports en commun".
De telles mesures ont déjà été prises dans le cadre de l'état d'urgence notamment, par exemple lors de l'arrivée du Tour de France sur les Champs-Élysées en juillet.
Quatorze personnes ont été tuées et 49 blessées lundi dans une attaque suicide dans un wagon du métro de Saint-Pétersbourg entre deux stations d'une ligne fréquentée du centre-ville.
Le kamikaze présumé a été identifié comme un homme de 22 ans né au Kirghizistan et de nationalité russe, selon les enquêteurs russes qui ont indiqué examiner d'éventuels liens avec l'organisation Etat islamique (EI). L'attaque n'a pas été revendiquée.