PAPEETE, le 4 mai 2017 - Au moins trois nouveaux suspects ont été interpellés et conduits dans les locaux de la gendarmerie, mercredi, dans le cadre de cette enquête ouverte pour trafic d'ice, association de malfaiteurs et blanchiment.
Une douzaine de personnes ont déjà été placées en garde à vue et certaines placées en détention provisoire depuis le début de cette affaire de trafic présumé de méthamphétamine depuis les Etats-Unis. L'entrepreneuse Mercedes Dubaquier, dont le rôle serait prépondérant, son époux et sa fille ont été placés en détention provisoire le 31 mars dernier, mis en examen par un juge d'instruction pour trafic de stupéfiants, association de malfaiteurs et blanchiment.
Selon plusieurs sources proches du dossier, les investigations des enquêteurs de la section de recherches de la gendarmerie porteraient sur des quantités de plusieurs kilos d'ice importés à Tahiti. Les gendarmes poursuivent leur travail de démantèlement du réseau. Trois nouveaux suspects au moins, des revendeurs présumés, ont été interpellés et conduits mercredi dans les locaux de la gendarmerie pour y être interrogés.
En matière de trafic de stupéfiants, la durée des gardes à vue peut être portée à 96 heures.
Une douzaine de personnes ont déjà été placées en garde à vue et certaines placées en détention provisoire depuis le début de cette affaire de trafic présumé de méthamphétamine depuis les Etats-Unis. L'entrepreneuse Mercedes Dubaquier, dont le rôle serait prépondérant, son époux et sa fille ont été placés en détention provisoire le 31 mars dernier, mis en examen par un juge d'instruction pour trafic de stupéfiants, association de malfaiteurs et blanchiment.
Selon plusieurs sources proches du dossier, les investigations des enquêteurs de la section de recherches de la gendarmerie porteraient sur des quantités de plusieurs kilos d'ice importés à Tahiti. Les gendarmes poursuivent leur travail de démantèlement du réseau. Trois nouveaux suspects au moins, des revendeurs présumés, ont été interpellés et conduits mercredi dans les locaux de la gendarmerie pour y être interrogés.
En matière de trafic de stupéfiants, la durée des gardes à vue peut être portée à 96 heures.