PARIS, le 24 mars 2015 - Demain, mercredi 25 mars, une table ronde sur les "Enjeux du changement climatique dans le Pacifique" aura lieu à Science Po Paris de 19h à 21h. Elle est organisée par les étudiants de la Fédération des associations des étudiants de Polynésie Française, en partenariat avec Science Ô, l'association des étudiants ultramarins de Science Po.
Pour s'y rendre, il faudra trouver l'amphithéâtre Chapsal dans les locaux de l'école politique, située au 27 rue Saint-Guillaume dans le 7ème arrondissement de Paris (sur Google Maps).
Les étudiants nous ont fait parvenir le descriptif de leur table ronde : "A la fin de l’année, la France accueillera la 21ème Conférence des Etats pour lutter contre le dérèglement climatique. Nation du Pacifique grâce à trois collectivités d'Outre-mer, le pays y concentre 62% de sa zone économique exclusive (ZEE) et regroupe de très nombreuses petites îles, premières victimes du réchauffement de la planète. La Nouvelle-Calédonie, la Polynésie française et Wallis et Futuna ont déjà plongé au cœur d’une réalité climatique que la Fédération des Associations des étudiants de Polynésie française (FAEPF) vous invite à décrypter, en compagnie des meilleurs experts."
Les tables rondes aborderont les causes du changement climatique, leurs effets à court terme, et les réponses que peuvent apporter les populations locales à ces dérèglements qui vont nécessiter d'importants efforts d'adaptation. Le public pourra échanger et poser des questions aux invités.
Et ils auraient tort de se priver, car au cours de la soirée, ce sont effectivement des pointures qui devraient intervenir :
- Nicolas Bériot, Secrétaire général de L'Observatoire national sur les effets du réchauffement climatique (ONERC), en charge de la politique d’adaptation au changement climatique au ministère de l’Ecologie
- Vaia Tuuhia, Déléguée générale de l’association 4D sur le développement durable
- Virginie Duvat, professeur de géographie à l'université de la Rochelle, auteur du chapitre Small Islands du dernier rapport du GIEC (Working Group II), elle travaille avec Alexandre Magnan depuis plusieurs années sur les îles tropicales face au changement climatique
Les étudiants demandent aux personnes intéressées de s'inscrire, bien que la démarche ne soit pas obligatoire.
Pour s'y rendre, il faudra trouver l'amphithéâtre Chapsal dans les locaux de l'école politique, située au 27 rue Saint-Guillaume dans le 7ème arrondissement de Paris (sur Google Maps).
Les étudiants nous ont fait parvenir le descriptif de leur table ronde : "A la fin de l’année, la France accueillera la 21ème Conférence des Etats pour lutter contre le dérèglement climatique. Nation du Pacifique grâce à trois collectivités d'Outre-mer, le pays y concentre 62% de sa zone économique exclusive (ZEE) et regroupe de très nombreuses petites îles, premières victimes du réchauffement de la planète. La Nouvelle-Calédonie, la Polynésie française et Wallis et Futuna ont déjà plongé au cœur d’une réalité climatique que la Fédération des Associations des étudiants de Polynésie française (FAEPF) vous invite à décrypter, en compagnie des meilleurs experts."
Les tables rondes aborderont les causes du changement climatique, leurs effets à court terme, et les réponses que peuvent apporter les populations locales à ces dérèglements qui vont nécessiter d'importants efforts d'adaptation. Le public pourra échanger et poser des questions aux invités.
Et ils auraient tort de se priver, car au cours de la soirée, ce sont effectivement des pointures qui devraient intervenir :
- Nicolas Bériot, Secrétaire général de L'Observatoire national sur les effets du réchauffement climatique (ONERC), en charge de la politique d’adaptation au changement climatique au ministère de l’Ecologie
- Vaia Tuuhia, Déléguée générale de l’association 4D sur le développement durable
- Virginie Duvat, professeur de géographie à l'université de la Rochelle, auteur du chapitre Small Islands du dernier rapport du GIEC (Working Group II), elle travaille avec Alexandre Magnan depuis plusieurs années sur les îles tropicales face au changement climatique
Les étudiants demandent aux personnes intéressées de s'inscrire, bien que la démarche ne soit pas obligatoire.