PAPEETE, le 17 avril 2019. A la veille du long week-end de Pâques, le haut-commissaire annonce que les contrôles routiers seront renforcés. Il "appelle tous les Polynésiens à la plus grande vigilance sur les routes".
"Depuis cinq ans, près de 130 personnes ont perdu la vie sur les routes du fenua et 11 personnes sont déjà mortes en 2019, malgré l’action publique forte de prévention et de répression qui est menée", rappelle le haut-commissaire, René Bidal, dans un communiqué avant d'ajouter : "Si les commentaires sur les réseaux sociaux sont toujours plus nombreux pour adresser des marques de compassion et appeler à la vigilance sur les routes, force est de constater qu’il est difficile de se faire entendre et de nouveaux comportements inconscients emportent la vie, notamment celle de jeunes enfants qui, lorsqu’ils montent dans un véhicule ou sur un cyclo, ont confiance en celui ou celle qui le conduit et espèrent en la vie."
Le représentant de l'Etat interpelle : " Que faut-il faire pour que cette amnésie collective cesse et que soient tirées, enfin, les conséquences de ces drames qui endeuillent tant de familles ? Combien de veillées mortuaires seront nécessaires pour une prise de conscience ? Combien de mutilés et de familles brisées faudra-t-il encore compter ?"
Il observe : " Force est de constater que la responsabilisation ne vient pas et que les mauvais comportements perdurent, notamment celle de l’alcool au volant qui reste à l’origine de la plupart des accidents graves".
A la veille du week-end de Pâques, il "appelle tous les Polynésiens à la plus grande vigilance sur les routes. Il faut que cette fête reste un moment de bonheur à partager dans les familles". Il précise que "les contrôles routiers seront renforcés sur l’ensemble du territoire polynésien, avec une tolérance zéro pour les contrevenants".
Il conclut : "La plupart des accidents sont évitables mais les gendarmes et les policiers ne pourront pas seuls les empêcher !"
"Depuis cinq ans, près de 130 personnes ont perdu la vie sur les routes du fenua et 11 personnes sont déjà mortes en 2019, malgré l’action publique forte de prévention et de répression qui est menée", rappelle le haut-commissaire, René Bidal, dans un communiqué avant d'ajouter : "Si les commentaires sur les réseaux sociaux sont toujours plus nombreux pour adresser des marques de compassion et appeler à la vigilance sur les routes, force est de constater qu’il est difficile de se faire entendre et de nouveaux comportements inconscients emportent la vie, notamment celle de jeunes enfants qui, lorsqu’ils montent dans un véhicule ou sur un cyclo, ont confiance en celui ou celle qui le conduit et espèrent en la vie."
Le représentant de l'Etat interpelle : " Que faut-il faire pour que cette amnésie collective cesse et que soient tirées, enfin, les conséquences de ces drames qui endeuillent tant de familles ? Combien de veillées mortuaires seront nécessaires pour une prise de conscience ? Combien de mutilés et de familles brisées faudra-t-il encore compter ?"
Il observe : " Force est de constater que la responsabilisation ne vient pas et que les mauvais comportements perdurent, notamment celle de l’alcool au volant qui reste à l’origine de la plupart des accidents graves".
A la veille du week-end de Pâques, il "appelle tous les Polynésiens à la plus grande vigilance sur les routes. Il faut que cette fête reste un moment de bonheur à partager dans les familles". Il précise que "les contrôles routiers seront renforcés sur l’ensemble du territoire polynésien, avec une tolérance zéro pour les contrevenants".
Il conclut : "La plupart des accidents sont évitables mais les gendarmes et les policiers ne pourront pas seuls les empêcher !"