FAA’A, jeudi 24 janvier 2013. C’est un rendez-vous annuel seulement, mais il a son importance. Depuis quelques jours, les chefs des 26 brigades territoriales de la gendarmerie sont à Tahiti pour quelques jours d’échanges et de rencontres. L’occasion pour eux, qui viennent parfois de très loin (Les Marquises à 1300 km ; Rikitea à 1700 km), de rencontrer leurs collègues, leur hiérarchie et d’échanger sur leur métier et leurs pratiques. Un métier de gendarme qui, parfois, est de nature très différente de ce que ces militaires rencontrent ailleurs en raison de la distance et de la façon d’exercer leurs fonctions, certaines brigades n’ayant que deux effectifs en poste.
«Ils doivent faire face à tout et ce sont souvent les seuls dépositaires de l’action de l’Etat» précisait le colonel Patrick Valentini, commandant de la gendarmerie en Polynésie française. Jean-Pierre Laflaquière, le Haut commissaire insistait, lui, sur «la parfaite adaptation de la gendarmerie au contexte local».
«Ils doivent faire face à tout et ce sont souvent les seuls dépositaires de l’action de l’Etat» précisait le colonel Patrick Valentini, commandant de la gendarmerie en Polynésie française. Jean-Pierre Laflaquière, le Haut commissaire insistait, lui, sur «la parfaite adaptation de la gendarmerie au contexte local».
Le Haut commissaire accueuilli par le colonel Valentini.
