PAPEETE, le 13 juillet 2015 - Le SPG Bio Fetia profite du sommet du Polynesian leaders group (PLG) pour rappeler que l'agriculture biologique contribue à la lutte contre le changement climatique. Le PLG reste à distance ce qui incite le SPG Bio Fetia à user de moyens détournés.
Pour se faire entendre, le SPG Bio Fetia a convoqué la presse, lundi matin. Programme annoncé : le dérèglement climatique et transition agronomique. Le vice-président, Sébastien Guittière, explique l'initiative : "Nous voulions profiter du sommet du polynesian leaders group pour faire passer nos messages jusqu'à la COP 21 qui se déroulera à Paris à la fin de l'année, mais on ne nous laisse pas nous exprimer. Nous avons contacté Bran Quinquis et lui avons demandé soit d'intervenir, soit de transmettre un document écrit résumant nos messages. Il nous a répondu que le protocole était trop strict pour nous permettre l'un ou l'autre."
"NOUS N'AVONS PAS EU DE RÉPONSE"
Bran Quinquis, délégué interministériel, chargé de l'organisation du sommet du PLG confirme avoir été contacté. "Nous ne cherchons pas à les écarter, mais ils se sont approchés de nous trop tard, personne ne peut intervenir lors du PLG une fois le programme validé. Nous les avons invités au symposium scientifique qui s'est tenu en amont. Nous avons envoyé le message via un contact commun, nous n'avons pas eu de réponse."
Pour le SPG Bio Fetia, l'agriculture lutte au jour le jour contre le réchauffement climatique. "D'une part elle atténue l'émission des gaz à effet de serre et d'autre part elle apporte des réponses en termes d'adaptation aux changements déjà en cours", détaille Sébastien Guittière. Pour illustrer son propos il ajoute: "l'agriculture biologique n'utilise aucun engrais chimique énergivore, car elle est axée sur le maintien de la fertilité du sol par l'utilisation d'intrants agricoles provenant de l'exploitation. Elle favorise la fixation du carbone en maintenant les cycles nutritifs et énergétiques strictes par la gestion biologique des sols, elle recycle les déchets organiques, elle protège les sols contre l'érosion, elle encourage la mise en place de système agroforestiers réduisent par exemple ou bien encore elle offre, dans le domaine de la sécurité alimentaire, une plus grande autonomie aux populations."
Pour se faire entendre, le SPG Bio Fetia a convoqué la presse, lundi matin. Programme annoncé : le dérèglement climatique et transition agronomique. Le vice-président, Sébastien Guittière, explique l'initiative : "Nous voulions profiter du sommet du polynesian leaders group pour faire passer nos messages jusqu'à la COP 21 qui se déroulera à Paris à la fin de l'année, mais on ne nous laisse pas nous exprimer. Nous avons contacté Bran Quinquis et lui avons demandé soit d'intervenir, soit de transmettre un document écrit résumant nos messages. Il nous a répondu que le protocole était trop strict pour nous permettre l'un ou l'autre."
"NOUS N'AVONS PAS EU DE RÉPONSE"
Bran Quinquis, délégué interministériel, chargé de l'organisation du sommet du PLG confirme avoir été contacté. "Nous ne cherchons pas à les écarter, mais ils se sont approchés de nous trop tard, personne ne peut intervenir lors du PLG une fois le programme validé. Nous les avons invités au symposium scientifique qui s'est tenu en amont. Nous avons envoyé le message via un contact commun, nous n'avons pas eu de réponse."
Pour le SPG Bio Fetia, l'agriculture lutte au jour le jour contre le réchauffement climatique. "D'une part elle atténue l'émission des gaz à effet de serre et d'autre part elle apporte des réponses en termes d'adaptation aux changements déjà en cours", détaille Sébastien Guittière. Pour illustrer son propos il ajoute: "l'agriculture biologique n'utilise aucun engrais chimique énergivore, car elle est axée sur le maintien de la fertilité du sol par l'utilisation d'intrants agricoles provenant de l'exploitation. Elle favorise la fixation du carbone en maintenant les cycles nutritifs et énergétiques strictes par la gestion biologique des sols, elle recycle les déchets organiques, elle protège les sols contre l'érosion, elle encourage la mise en place de système agroforestiers réduisent par exemple ou bien encore elle offre, dans le domaine de la sécurité alimentaire, une plus grande autonomie aux populations."