NEW YORK, 25 septembre 2014 (AFP) - Les Etats-Unis ont mis en garde jeudi contre une faille de sécurité concernant les systèmes d'exploitation Linux GNU et Mac OS X d'Apple.
Le département américain de la Sécurité intérieure affirme dans un communiqué que cette faille concerne le "Bourne again shell (Bash)", un logiciel libre qui permet de lancer des commandes dans une fenêtre de console.
C'est aussi un interpréteur de commandes qui fournit un langage de programmation pouvant être utilisé pour développer des programmes.
Il est l'interface utilisateur entre le système Linux ou Mac OS X et l'utilisateur.
Cette faille peut être exploitée par un pirate informatique, met en garde le Bureau chargé de la sécurité informatique au sein du département.
L'interpréteur de commandes permet en effet d'appeler des commandes et des programmes. Il fournit également un langage de programmation pour automatiser des tâches.
Des attaques informatiques se sont multipliées ces dernières semaines contre les groupes américains. La chaîne américaine de magasins de bricolage Home Depot a par exemple indiqué la semaine dernière que la sécurité de 56 millions de cartes bancaires avait été compromise lors de la cyberattaque dont elle a été victime entre avril et septembre.
Le département américain de la Sécurité intérieure affirme dans un communiqué que cette faille concerne le "Bourne again shell (Bash)", un logiciel libre qui permet de lancer des commandes dans une fenêtre de console.
C'est aussi un interpréteur de commandes qui fournit un langage de programmation pouvant être utilisé pour développer des programmes.
Il est l'interface utilisateur entre le système Linux ou Mac OS X et l'utilisateur.
Cette faille peut être exploitée par un pirate informatique, met en garde le Bureau chargé de la sécurité informatique au sein du département.
L'interpréteur de commandes permet en effet d'appeler des commandes et des programmes. Il fournit également un langage de programmation pour automatiser des tâches.
Des attaques informatiques se sont multipliées ces dernières semaines contre les groupes américains. La chaîne américaine de magasins de bricolage Home Depot a par exemple indiqué la semaine dernière que la sécurité de 56 millions de cartes bancaires avait été compromise lors de la cyberattaque dont elle a été victime entre avril et septembre.