PAPEETE, le 18 mars 2015 - Les deuxièmes années du BTS en Commerce International de la CCISM ont vécu un "mini-salon export" ce mardi 17 mars. Prenant le rôle d'exportateurs polynésiens, ils ont essayé de vendre leurs produits, en anglais, à des acheteurs joués par leurs professeurs et d'autres classes d'élèves.
Comment forme-t-on les futurs experts de l'export polynésien ? En les mettant en situation ! "Ici vous assistez à une simulation de salon export en vue de la préparation des deuxièmes années à leur examen qui va se dérouler en juin 2015. Lors de cet examen il y aura une épreuve de négociation/vente en langue étrangère" explique Jean Trinkl, responsable des études BTS et licence à la CCISM.
Si l'examen final inclura plusieurs langues étrangères, le mini-salon était en anglais uniquement. "Les élèves jouent les exposants, les vendeurs. Les acheteurs sont joués par des professeurs, des intervenants extérieurs et des élèves des autres sections. D'un côté ils essaient de découvrir les besoins du clients, et de l'autre les professeurs essaient de découvrir les produits, et certains peuvent acheter aussi !" Enfin ce sont les élèves du BTS de communication qui organisent le tout.
Un travail en anglais de toute une année
Comment forme-t-on les futurs experts de l'export polynésien ? En les mettant en situation ! "Ici vous assistez à une simulation de salon export en vue de la préparation des deuxièmes années à leur examen qui va se dérouler en juin 2015. Lors de cet examen il y aura une épreuve de négociation/vente en langue étrangère" explique Jean Trinkl, responsable des études BTS et licence à la CCISM.
Si l'examen final inclura plusieurs langues étrangères, le mini-salon était en anglais uniquement. "Les élèves jouent les exposants, les vendeurs. Les acheteurs sont joués par des professeurs, des intervenants extérieurs et des élèves des autres sections. D'un côté ils essaient de découvrir les besoins du clients, et de l'autre les professeurs essaient de découvrir les produits, et certains peuvent acheter aussi !" Enfin ce sont les élèves du BTS de communication qui organisent le tout.
Un travail en anglais de toute une année
Loïc, étudiant en deuxième année du BTS commerce international, tient un stand de vente de perles. Il nous explique le travail qu'il a réalisé : "J'ai créé un dossier comme si je travaillais pour une entreprise et que je voulais exporter ses produits à l'international. J'ai choisi cette entreprise parce que j'ai un ami qui en est proche, comme ça j'ai pu avoir des informations plus facilement !"
C'est avec ce dossier et cette entreprise que Loïc passera son examen : "J'ai commencé ce travail au début de l'année, et au fur et à mesure, avec les professeurs, j'ai avancé le dossier. Pour l'anglais ça va, je n'ai pas encore pu corriger toutes les fautes dans le dossier, mais il avance ! C'est celui que je présenterai à l'examen, mais il manque encore le côté vente internationale : comment on va transporter le produit pour le livrer à nos clients. Mais c'est bon, je me sens prêt." Une fois son BTS terminé, le jeune étudiant compte poursuivre avec une licence en France.
C'est avec ce dossier et cette entreprise que Loïc passera son examen : "J'ai commencé ce travail au début de l'année, et au fur et à mesure, avec les professeurs, j'ai avancé le dossier. Pour l'anglais ça va, je n'ai pas encore pu corriger toutes les fautes dans le dossier, mais il avance ! C'est celui que je présenterai à l'examen, mais il manque encore le côté vente internationale : comment on va transporter le produit pour le livrer à nos clients. Mais c'est bon, je me sens prêt." Une fois son BTS terminé, le jeune étudiant compte poursuivre avec une licence en France.