Tahiti, le 25 juillet 2022 – La restitution des travaux des Assises de la santé, qui s'étaient tenues début juin, a eu lieu jeudi 21 juillet. Les préconisations ont porté, entre autres, sur la prévention et une plus grande réglementation sur les produits et aliments nocifs. Elles appellent également à une responsabilisation des patients.
La restitution des travaux des Assises de la santé, qui s'étaient tenues début juin, a eu lieu jeudi 21 juillet. L'organisation des Assises faisait partie du protocole de fin de grève générale en novembre dernier. L'objectif : trouver des pistes pour financer la santé des Polynésiens tout en maîtrisant les dépenses. Durant trois jours, professionnels de la santé du public et du privé, administrations, institutions, syndicats et patronat s'étaient donc réunis pour échanger sur ces questions.
Dans un communiqué, la présidence liste les différentes préconisations faites à l'issue des travaux. Elles portent sur “la prévention, la numérisation et le partage des données de santé, la complémentarité des secteurs publics et privés de la santé, la gestion performante des évacuations sanitaires inter-îles, la réorganisation des évasans urgentes, l’amélioration de l’offre et le renforcement des capacités de notre système de santé, lequel devra s’appuyer sur des structures supplémentaires ou réhabilitées”.
La “responsabilisation des patients”, notamment ceux en longue maladie qualifiés de “véritables consommateurs de soins”, est également soulignée comme étant un “facteur déterminant” pour maîtriser l'évolution des dépenses de santé. Il est aussi demandé un renforcement de la réglementation sur les produits et aliments nocifs pour la santé, et notamment sur le sucre.
La restitution des travaux des Assises de la santé, qui s'étaient tenues début juin, a eu lieu jeudi 21 juillet. L'organisation des Assises faisait partie du protocole de fin de grève générale en novembre dernier. L'objectif : trouver des pistes pour financer la santé des Polynésiens tout en maîtrisant les dépenses. Durant trois jours, professionnels de la santé du public et du privé, administrations, institutions, syndicats et patronat s'étaient donc réunis pour échanger sur ces questions.
Dans un communiqué, la présidence liste les différentes préconisations faites à l'issue des travaux. Elles portent sur “la prévention, la numérisation et le partage des données de santé, la complémentarité des secteurs publics et privés de la santé, la gestion performante des évacuations sanitaires inter-îles, la réorganisation des évasans urgentes, l’amélioration de l’offre et le renforcement des capacités de notre système de santé, lequel devra s’appuyer sur des structures supplémentaires ou réhabilitées”.
La “responsabilisation des patients”, notamment ceux en longue maladie qualifiés de “véritables consommateurs de soins”, est également soulignée comme étant un “facteur déterminant” pour maîtriser l'évolution des dépenses de santé. Il est aussi demandé un renforcement de la réglementation sur les produits et aliments nocifs pour la santé, et notamment sur le sucre.