PAPEETE, le 20 janvier 2017. Le ministre des Finances, de l’énergie et des mines, Nuihau Laurey, a reçu, jeudi, dans la continuité de son entretien la veille avec la CGPME, le président du MEDEF, Olivier Kressmann, accompagné des membres de la commission fiscalité interne à l’organisation patronale, pour lui exprimer, ainsi qu’à l’ensemble de ses adhérents, ses meilleurs vœux pour la nouvelle année.
Cette rencontre, a ainsi été l’occasion pour le ministre des Finances de faire part de son intention d’organiser des Assises de la fiscalité les 28 février et 1er mars prochains, au cours de laquelle des tables rondes seront organisées. L’objectif affiché de ces deux journées d’échanges sera de proposer des mesures concrètes visant à conforter durablement la reprise économique constatée ces deux dernières années, mesures que le gouvernement proposera à l’examen de l’Assemblée de la Polynésie française dès la session administrative d’avril prochain.
Lors de cet événement marquant, il est prévu que l’ensemble des acteurs économiques débattent de sujets concrets permettant de faire évoluer la fiscalité polynésienne de sorte qu’elle concoure à renforcer et asseoir l’attractivité économique de la Polynésie française, tant à l’égard des investisseurs locaux que des investisseurs étrangers.
Cette rencontre, a ainsi été l’occasion pour le ministre des Finances de faire part de son intention d’organiser des Assises de la fiscalité les 28 février et 1er mars prochains, au cours de laquelle des tables rondes seront organisées. L’objectif affiché de ces deux journées d’échanges sera de proposer des mesures concrètes visant à conforter durablement la reprise économique constatée ces deux dernières années, mesures que le gouvernement proposera à l’examen de l’Assemblée de la Polynésie française dès la session administrative d’avril prochain.
Lors de cet événement marquant, il est prévu que l’ensemble des acteurs économiques débattent de sujets concrets permettant de faire évoluer la fiscalité polynésienne de sorte qu’elle concoure à renforcer et asseoir l’attractivité économique de la Polynésie française, tant à l’égard des investisseurs locaux que des investisseurs étrangers.