Paris, France | AFP | jeudi 11/05/2017 - Manuel Valls, qui veut faire partie de la majorité présidentielle, ne sera pas investi aux législatives par La République en marche, mais le parti d'Emmanuel Macron ne présentera pas de candidat contre lui, a annoncé jeudi son secrétaire général Richard Ferrand.
La candidature de l'ancien Premier ministre PS dans son fief de l'Essonne ne répondait pas aux critères définis par le mouvement "car aucun candidat ne peut être investi s’il a déjà fait trois mandats de parlementaire", a expliqué M. Ferrand.
"Mais nous ne voulons pas donner l'impression d'humilier, de rejeter, d’être dans une vindicte. A ce stade nous n’investissons pas l’intéressé mais nous ne lui opposons pas de candidat (...) Au moment où nous rassemblons, nous estimons qu'on ne claque pas la porte au nez à un ancien Premier ministre qui veut nous rejoindre et être utile", a expliqué M. Ferrand.
"Nous ne bougerons pas nos critères, pas de passe-droits. Mais nous prenons acte de cette singularité d’un ancien Premier ministre et nous ne cherchons pas à mener querelle", a-t-il insisté.
Interrogé pour savoir si le cas de Manuel Valls avait été tranché par Emmanuel Macron lui-même, M. Ferrand a répondu que le président élu a été saisi "de quelques cas qui relevaient d’un aspect particulier".
La candidature de l'ancien Premier ministre PS dans son fief de l'Essonne ne répondait pas aux critères définis par le mouvement "car aucun candidat ne peut être investi s’il a déjà fait trois mandats de parlementaire", a expliqué M. Ferrand.
"Mais nous ne voulons pas donner l'impression d'humilier, de rejeter, d’être dans une vindicte. A ce stade nous n’investissons pas l’intéressé mais nous ne lui opposons pas de candidat (...) Au moment où nous rassemblons, nous estimons qu'on ne claque pas la porte au nez à un ancien Premier ministre qui veut nous rejoindre et être utile", a expliqué M. Ferrand.
"Nous ne bougerons pas nos critères, pas de passe-droits. Mais nous prenons acte de cette singularité d’un ancien Premier ministre et nous ne cherchons pas à mener querelle", a-t-il insisté.
Interrogé pour savoir si le cas de Manuel Valls avait été tranché par Emmanuel Macron lui-même, M. Ferrand a répondu que le président élu a été saisi "de quelques cas qui relevaient d’un aspect particulier".